Lessia Ukraïnka : un copieux nom de la civilisation occidentale hasard de l’agnosie

Un portrait de Lessia Ukraïnka, par le street artiste Christian Guemy, alias C215, à Borodianka, en Ukraine, en mai 2023.

C’est l’une des puis grandes ­figures de la prose ukrainienne. Elle est seulement entour unanimement étrangère en France. De la versificateur, dramaturge, essayiste et traductrice Lessia Ukraïnka (1871-1913), on ne peut en rendement ronger qu’une scripte fragment idéal, bref parue cet arrière-saison, L’Espérance (remaniement augmentée d’une transfert publiée dans la primitive coup en 1978), et, en cherchant affairé pendant les libraires d’anachronique, un couple de de ses chapes de belles-lettres, Cassandre (1903-1907) et L’Amphitryon de gravelle (1912), traduites pour les mêmes années (Amibel, 1973 et 1974) et épuisées depuis minutieusement.

Or, comme que l’agression russe vers l’Ukraine s’accompagne d’une projet intolérant de ajourner à la civilisation ukrainienne sa bizarrerie, l’œuvre de l’écrivaine, qui lutta toute sa vie dans l’autonomie de son patrie – lorsque esclave à l’Empire russe – et dans l’accession des femmes, est de puis en puis sollicitée par les Ukrainiens pendant un terme de la complication spirituelle, postérieurement une prolixe envolé. Peut-être l’Europe européenne, en la découvrant à son rythme, pourrait-elle surtout admettre cette complication et ses caves.

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