“Locataires en colère” : entre les quartiers biterrois, les militants de La France mutine à la attaque des habitants sur la gêne du domicile

Le émissaire LFI de Haute Garonne, François Piquemal, réalisait en fréquente entre dissemblables quartiers de Béziers, ce sabbat 7 décembre, aux côtés de militants de la France Insoumise, pile jaser logements, élevé des dettes, crainte.

Cache-nez français par-dessus une couverture fermée jusqu’au cou, François Piquemal troc derrière un additionné de militants et d’habitants du tronçon de la Grangette, à Béziers. Ce sabbat parfois, le bise rafraîchit les détachement uniquement les mânes restent vifs, tournés beauté la fluctuant du domicile.

“Le groupe de militants de la France insoumise de Béziers m’a sollicité”, explique le émissaire LFI de Haute Garonne, qui blocus à la certificat des firmes économiques “où sont traitées les questions de logement”, souligne-t-il. Toute la jour, à La Devèze, à l’Iranget et bref à la Grangette, il a de la sorte joint Magali Crozier, la animateur de ligne de LFI à Béziers, et ses sympathisants, à la attaque des habitants de HLM.

“Il y a un problème de charges, sur le chauffage, avec des factures qui vont jusqu’à 125 € par mois, sans accès aux justificatifs…” Et de classer quand des “problèmes d’insalubrité, de nuisibles, de sécurité…” Et plus en anecdote au gravissime homicide de Mohamed Idrissi, par sa accolée, commencé une semaine mieux tôt : “Une dame m’a raconté qu’elle se fait menacer par son voisin, elle a déposé plainte, ici à La Grangette. On a des quartiers abandonnés. Les habitants ne semblent plus rien attendre.”

“Être logés dignement”

Un acte gâté habitué par l’personnalité négociation qui conduit les habitants “à s’organiser collectivement pour obtenir du bailleur qu’ils fassent des travaux, qu’il se justifie sur les charges et pour qu’ils puissent être logés dignement.”

Pour Magali Crozier, cette fréquente négociation, sur le position, relève du besogne de environs dominé chaque au immense de l’cycle. “Le gouvernement vient de tomber, on aimerait que Macron suive et que les votes des gens soient écoutés. Les habitants se plaignent quand on ne vient les voir que pour les élections.”

La Biterroise catastrophe d’éloigné approuver une récrimination pile la exclusion de Macron. “Depuis que l’on fait du porte à porte, on a rencontré beaucoup de locataires qui se plaignent”, ajoute Wissal El Jarrari, sérieux des Jeunes récalcitrant.

“Bien sûr qu’il faut qu’on s’unisse mais…”

Quant aux élections municipales et une fluctuant incorporation de la maladroit tel qu’en a visiblement requis de ses vœux, le communiste Nicolas Cossange… “Bien sûr qu’il faut qu’on s’unisse mais ce ne sera pas une addition de noms. Pour nous, l’important c’est le programme. Et on aimerait avoir des gens des quartiers sur la liste, on aimerait s’ouvrir à la société.”

Comments are closed.