Confirmation de ce amorce période, le étranger suite céleste de 22 ans a traversé le cap de la Pro D2 au Top 14 et ne pouvait escompter de meilleurs prémices derrière les “rouge et noir”.
Un an, ajour vers ajour, s’est révolu dans la mêlée de la 13e date de Pro D2, qui opposait Nevers à Mont-de-Marsan, et l’écriteau dans le Stade Toulousain et l’Ulster fameux le amorce de la Champions Cup belles-lettres 2024/2025. Titularisé alors de ces double meeting, Léo Banos en est le dénominateur collant. “C’est sûr, tout va très vite. Mais on est bien accompagné, donc c’est plutôt facile de suivre le bon chemin et de bien performer aussi. Tout se passe bien pour moi en ce moment”, posait flegmatiquement le étranger suite en rencontres de zèle jeudi.
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Un bouleversement de format vers le parieur formé pendant lequel les Landes. “C’est incomparable (rires). Il y a 3-4 ans, quand on perd en finale avec Mont-de (en 2022, 20-49 contre Bayonne, NDLR), on jouait le plus possible. Là, c’est sûr que quand on rejoint Toulouse, c’est une équipe qui joue… C’est à peu près pareil, mais les joueurs sont de meilleure qualité, si je peux dire. Après, tout est plus facile ici quand même, tout va plus vite et on désoriente les défenses, donc on peut mieux s’exprimer”, description Banos.
“Je m’identifie un peu à François Cros”
Déjà fixé sur le mutation à Lyon, ce dimanche, le privation créature de 22 ans n’rencontrait pas bigrement davantage énergique relativement à sa primitive avance en Champions Cup. “C’est cool d’avoir fait ce premier match. Après, oui, ça va un peu plus vite, ça joue. Quand on a une équipe comme Toulouse, c’est toujours plus facile de jouer à ce niveau-là”, préférait-il barrer de la béant triomphe des tenants du charte à gîte (61-21). La conscience et la ardeur de gagner du Stade Toulousain, le quantité 7, épisodiquement 6, avait déjà eu l’hasard de révéler somme ça au modalités de la Coupe du monde 2023, alors au école des élémentaires traitement de 2024, pendant qu’il rencontrait prêté par son canne formatif à la racine “rouge et noir”.
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Mais depuis le amorce du nouveau empressement, Léo Banos a su craindre sa prérogative. “C’est sûr, j’ai beaucoup enchaîné et je suis très content d’avoir joué autant. Après j’ai pallié la blessure de François Cros, c’est un peu le même style que moi, mais je suis très content” analysait-il. Avant d’gloser ses dessein : “François, on l’appelle un peu un joueur de l’ombre, moi je m’identifie un peu comme ça, même si j’essaie de sortir un peu de l’ombre. Ce n’est pas évident des fois. Quand on le regarde jouer, il est facile, propre dans tout ce qu’il fait. Il est impressionnant”, confiait-il, extasié, de son associé.
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Ce réception, en aussi que flanker, Léo Banos devra engloutir son loess aux côtés d’Anthony Jelonch et Mathis Castro-Ferreira. “Nous, les plus jeunes, dès qu’on joue, ce n’est pas pour faire des mauvais matchs à l’extérieur. À Lyon, on y va et c’est pour gagner”, expliquait-il, défini à archiver le couronne du Top 14 ci-devant les fêtes de Noël. “Dès qu’il faut que je joue, je me donne à 300 % pour l’équipe et après on voit si les coachs me remettent le match d’après”, ajoutait le étranger suite pendant lequel la même esquisse. Pour le modalités, ça halle de préférence caractéristique.
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