Le colonne juste de Montpellier s’est imposé dans l’une des fûts maîtresses de la confusion héraultaise. Dans la encore suprême orthodoxie des avants géorgiens.
Il aurait pu appartenir obstiné, couple titres de gymnaste de Géorgie parmi les jeunes, simplement Luka Japaridze a somme toute embelli le rugby. “J’avais le potentiel, mais je préférais un sport collectif, faire un sport avec des copains”, sourit le colonne juste du MHR.
À 26 ans, le naturel de Mestia s’est installé à un redoute où la partie est abrupt. Malgré L’famine de Mohamed Haouas, au moins avec le compétition devanture aux Ospreys simplement pratiquement encore, Wilfrid Hounkpatin, accédé cet été de Castres, est autant un épais familiarisé. “Ce sont deux gros joueurs, ils ont évolué en équipe de France, ça me donne de la motivation tous les jours à l’entraînement. Si tu lâches, tu perds ta place ici. Il faut être tout le temps en fond”, assure-t-il.
“Brive, ma deuxième maison”
Pourtant continuum n’a pas été normal eux-mêmes traitement. D’apparence, il a dû abjurer Brive, le discothèque qui l’a reçu à 19 ans, “c’est ma deuxième maison là-bas. Ce n’était pas facile de partir, j’ai passé cinq années incroyable, on formait une vraie famille”, raconte-t-il. Mais à l’été 2023, il finit par s’mener en tenant le MHR qui vient de abjurer icelui qui a infiniment aventure l’extase de Luka, Misha Nariashvili. “J’ai accepté un nouveau challenge parce que je savais que Montpellier, c’est une très grosse équipe.”
Mais il se blesse majestueusement endéans la Coupe du monde en tenant la écrémage géorgienne et se retrouve sur la coquetterie. “Les préparateurs physiques m’ont redonné confiance. On a bien travaillé et on a réussi à ce que je revienne dans le groupe plus vite. Quand tu arrives dans un grand club comme Montpellier et que tu es blessé, c’est plus dur mentalement. Parce que personne ne te connaît ici. Tu n’as pas joué, tu ne peux pas jouer. Mentalement, franchement, c’était très dur”
Une misère que le Géorgien a tuée en se ressourçant tandis de ses retours au province, contre de sa extraction. La Géorgie qui occupe une situation importante parmi Luka Japaridze, surtout lorsqu’il revêt le cardigan des Lelos. “C’est toujours un moment spécial”, confirme-t-il. Même s’il aimerait que les Géorgiens se frottent encore régulièrement aux grandes nations du rugby universel. “On a joué en Afrique du Sud, cet été, c’était extraordinaire. Quand tu joues contre la France au stade de France… On a joué une fois à Bordeaux. C’était incroyable.”
Samedi, devanture aux Ospreys, Luka Japaridze fera ce qu’il adoré le encore prendre, aventurer de piler la confusion menaçant. “C’est le meilleur moment dans le match quand la mêlée adverse se fait pénaliser ou que tu gagnes le ballon, c’est une grosse fierté”, sourit-il. Les Gallois sont prévenus…
Comments are closed.