Le ardeur de gouvernement de l’Ariège a lancé ce vendredi 6 décembre un frais filet de secrétaires de commune afin soutenir les échanges et davantage chaperonner ces professionnelles, continuellement isolées en terminaison de grille des cénozoïque publics. Un risque essentiel afin ce emploi, rebutant et jusque-là passionnément peu valorisé.
Dans la éthérée séjour des fêtes de Cadarcet, à l’crise Est du Couserans, 24 secrétaires de commune présentaient réunies ce vendredi parfois à l’courage du ardeur de gouvernement de l’Ariège. L’droit, bâtir un filet de secrétaires de commune afin soutenir les meeting, les échanges et “co-construire” tout autour d’ateliers thématiques.
Une courage au cœur d’un esquisse ressortissant comme déployé, voté en décembre 2023, afin relever ce emploi, passionnément généralement femelle, ingrédient au hauteur des collectivités malheureusement qui contrit à racoler. “L’idée est de travailler ensemble pour redonner un peu de lustre à ce métier, qui est un des plus en tension de la fonction publique territoriale, surtout dans les petites collectivités”, explique Frédérick Dedieu, responsable du ardeur de gouvernement. “Certaines secrétaires de mairie sont à mi-temps ou sur des temps très courts et font quatre ou cinq collectivités dans la semaine. […] Bout à bout, elles arrivent peut-être à avoir un 35 heures.”
“Nous sommes le dernier maillon des services publics”
Une inventaire bientôt abrégé qui s’ajoute à des situation de gésine qui n’ont cassé de se endommager ces dernières années. “Dans les petites mairies, les gens pensent qu’il n’y a pas grand-chose à faire, qu’on répond au téléphone, qu’on fait le café au maire et qu’on classe les dossiers. Mais on doit être polyvalente, de l’état civil à l’urbanisme en passant par la comptabilité, les ressources humaines, la gestion des affaires communales… “, témoigne Emmanuelle, copiste à la commune de Vernajoul, éthérée département 710 habitants.
“On est des couteaux suisses. Les élus se reposent aussi beaucoup sur nous. Quand ils arrivent, ils veulent mener à bien leur projet. Mais il y a des réglementations, des contraintes qu’ils ne connaissent pas. Nous sommes des aides à la décision et c’est une responsabilité.”
Des missions diverses qui se sont multipliées ces dernières années derrière le décrochement croissant des cénozoïque publics comme les milieux ruraux. “Je fais ce métier depuis 23 ans, et j’ai vu une grande différence par rapport à mes débuts. Les services de l’État nous demandent toujours plus de choses pour pallier, quelque part, leur recul. […] Nous sommes le dernier maillon des services publics”, rappelle la ménagère de 44 ans, l’une des participantes à cette ancienne correspondance. “Nous avons donc de plus en plus de charges, avec de moins en moins de moyens. Ça devient très compliqué, on est sous pression.”
“Il y a pas mal de secrétaires qui craquent”
Une rempli de gésine qui pèse sur les épaules de ces secrétaires, continuellement isolées comme à elles éthérée congrégation. “Dans les grosses mairies, s’il y a un bug sur l’ordinateur ou le logiciel, il y a un service informatique. Dans les petites mairies, le service informatique, c’est nous. Nous sommes souvent seules face à nos difficultés et c’est une grosse charge mentale”, avoue Emmanuelle. “Il y a pas mal de secrétaires qui craquent. C’est dur.”
En comme de ces burn-out, 63 secrétaires de commune devraient brutalement à la antre comme les trio prochaines années, sur les 170 que note le commune.
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