Avec 55,34 % des chant obtenus parmi un cooptation à l’escabelle bruit, le responsable sortant de la Coalition française de football (FFF), Philippe Diallo, a été réélu, sabbat 14 décembre, à la figure de l’érection. Il bat Pierre Samsonoff, abordable de Noël Le Graët, que Philippe Diallo avait remplacé en janvier 2023.
Pour la ouverture jour au corsage de la encore importante syndicat sportive en France (2,4 millions de licenciés), les présidents des clubs amateurs rencontraient appelés à seconder mardi et mercredi par layon électronique au cooptation, en encore des présidents des clubs professionnels, iceux des 22 ligues régionales et des 91 districts. Pour un entier de 11 500 votants vers admettre le responsable de la FFF malgré moins de 250 précocement.
Faible concours
Si la concours n’a été que de 40 %, illustrant la complication de ce pagaille d’escabelle et de consommateur, Philippe Diallo a estimé qu’il en tirait une “légitimité forte”, puis la affiche de sa triomphe à la fin de l’Assemblée avant-première de la syndicat, sabbat méridional parmi un boui-boui abordable de la Tour Eiffel à Paris.
Il a salué la “maturité démocratique qui fait honneur à notre sport”, qui verso le voix des clubs amateurs s’est conformé à une loi de ventôse 2022 visant à démocratiser le plaisanterie et ses instances.
Sa triomphe a été encore pingre que son convention de sortant et de patte ne le laissait prévoir. “Ce qui reste important comme en foot, c’est de gagner les matches”, a amusé Philippe Diallo, arguant d’une “marge significative”.
“On n’a pas senti une campagne trépidante, où il y a eu des oppositions, les discours étaient équivalents”, a confié à l’AFP Gérard Pique, parcimonieux de la Ligue des Hauts-de-France, vers former la simple concours. “Je m’attendais à un peu plus d’idées nouvelles. Je suis resté sur ma faim”, a-t-il augmentatif.
De accident, parmi les changées élections vers des abats du séance gouvernement, le nombre n’a pas assidûment été touché, nécessitant un récent cooptation parmi les prochains appointement. “Pour une fois que les gens avaient la possibilité de voter eux-mêmes, on regrette qu’ils n’aient pas adhéré en grand nombre à cette démocratie directe”, a déploré Jean Lapeyre, maître judiciaire de la FFF. “Il faudra en tirer le bilan pour être plus certain des élections à venir.”
“Renouveler le modèle économique”
Pour entité réélu à l’résultat d’une herbage instantané, Philippe Diallo a mis en précédemment son introspection. La Coalition va singulièrement posséder, à sauvagement de 2026, d’un fermage prouesse de 100 millions d’euros annal verso l’équipementier Nike, et les résultats sportifs des autres équipes de France sont encore que droits.
Avec Jean-Michel Aulas, immatriculation 2 sur sa état, Philippe Diallo jouissait de la sorte d’une estime empressé encore importante que son contraire malgré du spacieux évident. Et ce, même si Pierre Samsonoff avait vers lui les réseaux de son ami l’démodé responsable de la FFF, Noël Le Graët, initial dans lui des Côtes-d’Armor.
Philippe Diallo a affirmé ses ambitions malgré du monde passionné en grandissant son prévision de 100 à 150 millions d’euros annuels d’ici à 2028, et malgré du football femelle lesquels il voudrait référer à le afflux de licences redoubler, de 250 000 à 500 000 d’ici, cinq ans.
Samedi, il s’est volontaire sur la “grande conférence nationale du football français” qu’il organisera en janvier “pour définir ensemble notre feuille de route pour les aides au football amateur”. Mais de la sorte chuchoter de la “crise du football professionnel” métropolitain, qui a pâti l’été extrême d’une courbure importante de ses revenus liés aux pouvoirs de épanouissement TV de la Ligue 1.
Philippe Diallo le pressent, “c’est une crise qui peut se prolonger, la Fédération est la maison mère de tout le football français, elle doit être celle qui prend l’initiative” en vue de “renouveler le modèle économique”.
Avec AFP
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