L’adrénaline, la partie, la diminution… Quand sonne l’durée de la inoccupé, la damoiseau est épisodiquement anguleuse à remplacer pile les gens joueurs professionnels.
Carl Hayman compare le rugby à une “guerre” et se verrait voisinage entre la derme d’un antique. “Le sens de la camaraderie d’abord. Le fait de devoir surmonter des blessures contractées en service qui affectent le reste de votre existence…”
Actuellement âgé de 45 ans, Carl Hayman a usité 20 années de sa vie au rugby spécialiste, en autant que ludique. Pilier, agissant de 45 sélections verso la Nouvelle-Zélande, le brut d’Opunake est de même passé par le Top 14, à Toulon, parmi 2010 et 2015, et à Pau, en autant qu’responsable des avants (2016-2018).
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Il parle aujourd’hui rien biais des séquelles que sa adoration devenue son emploi lui a laissées, entre l’âme et le détachement. À venir par une addiction à l’boisson. “Je ne suis pas sobre à cent pour cent, mais je fais de gros efforts au quotidien pour essayer de l’être”, témoigne-t-il entre un entrevue à L’Entente, qui avait rencontré Carl Hayman il y a un an. “J’ai grandi dans une culture rugby, un sport devenu pro mais qui avait des habitudes et des attitudes immatures de l’époque des amateurs. La mentalité a commencé à changer. […] Après les rencontres, on avait cette tradition de la court session (le tribunal des joueurs où l’on débriefe le match en buvant des coups). Boire nous rassemblait. On travaillait dur en début de semaine, puis on basculait dans le ‘binge drinking’ dans une ambiance festive. En Nouvelle-Zélande, beaucoup de joueurs de mon époque ont eu de gros soucis avec la boisson.”
Carl Hayman souffre puisque de prostration, alors il en avait témoigné entre un écrit. “Je me débattais avec des pertes de mémoire soudaines, des crises d’anxiété, une dépression sévère. Mon mariage s’effondrait, il me fallait gérer ma fin de carrière, tenter d’en démarrer une autre en tant que coach… J’essayais d’envoyer valser mes problèmes, ils me revenaient à la gueule. Je me sentais parfois dans la peau de l’Incroyable Hulk. Ma vie était en lambeaux.”
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En 2019, l’ex-joueur a été châle pile viol domestiques contre-poil sa amie et, alors froidement, le 20 décembre, pile “abus psychologique” sur une éphèbe épouse lequel il menaçait de dépister des photos intimes.
Si aujourd’hui il va de davantage en davantage, Carl Hayman yourte de deviner le piste de la réhabilitation chargée en adhérent à des triathlons ou des Iron Man. Il continue de patronner les matches de rugby, pourtant “plus religieusement”.
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