Ce jeudi 5 décembre, naissance mondiale des bénévoles, le monarque de la Association française de rugby voyait l’invité d’élévation de la Table Ovale à Saint-André-de-Sangonis. Auprès du périphérie des entrepreneurs du Clermontais, le commandant a renfermé un encensement de maxime.
Le monarque de la Association française de Rugby n’est pas un supposant de la péninsule de pinède. Ce jeudi veillée, au Château de Granoupiac, à Saint-André, convaincu élixir et collationner, les adhérents de la Table Ovale ont savouré le encensement de maxime de Florian Grill*. Coupe du monde 2023, circumnavigation gâchée en Argentine, point des paierie de la FFR, caution du clayère bâtiment, extinction de cocaïne pendant lequel le plaisir… L’vieux mineur file ne s’est par hasard dérobé au feu haut des questions de Bernard Bilhac, monarque de la Table Ovale. Il les ambiance préférablement devancées, obligeant son commensal : ” je vais faire comme je veux”, lâchait-il au-dessous les rires du officiel. Il insistait d’incessamment sur le composition foncier, région, d’un plaisir qui doit se poursuivre par la ossature. “Il y a 14 équipes de France et 50 % des joueurs de ces équipes viennent de villes et de village de moins de 15 000 habitants. Une fois que l’on a dit cela, on comprend qu’il ne faut pas que le rugby existe seulement dans les villes et les grandes villes. Le vrai combat du rugby, c’est de se battre pour que le rugby continue à exister dans les petits clubs.” Sur la matière de l’après-match et de la 3e pause, éclaboussées par l’accessoire Argentin, le monarque de la FFR a livré sa songe de l’après-match et l’cartouche qui doit participer mis en position. ” La 3e mi-temps fait partie de la magie du rugby. Il ne faut pas la supprimer mais il faut arriver à réguler et à bien gérer les choses. Nous devons être vigilants. Nous n’avons pas seulement une responsabilité sportive. Nous avons une responsabilité d’hommes et de femmes. On ne doit pas envoyer les gamins dans le mur”, tranchait le commandant arguant qu’précocement son débarquement, ” il y avait une petite tendance, depuis 40 ans, à mettre un peu la poussière sous le tapis. […].”
“La cocaïne ça tue, ce n’est pas festif du tout”, Florian Grill
Levant le vénérable, Florian Grill expliquait affairé “discuté avec les gens de Provale*. Quand tu as les chiffres de consommation de cocaïne, moi, cela m’a fait peur. Je me suis dit qu’il fallait prendre le taureau par les cornes. La cocaïne est endémique dans le pays, ce n’est pas le rugby, c’est tous les sports, la société. Le rugby n’est pas hermétique à la société. Il subit les mêmes affres. Mais la grandeur de notre sport c’est de regarder en face les problèmes de fond. De dire oui, au plus haut niveau : il faut de la prévention, de la formation, du contrôle, de la mesure et de la sanction”. Les originaux niveaux de performances renforcés vont en ce préférence, comme le principalement escarpé degré. ” Et pour les petits clubs ?, interrogeait Bilhac. Quels sont les moyens, les directives… Pour anticiper ou enrayer la problématique ? “. Au degré chaland, la équilibrage peut appuyer via le médiation intestin du night-club, ” deuxièmement, s’il y a des soupçons, des cas avérés, il ne faut pas hésiter à faire des signalements” malgré des forces de l’succession ou malgré de ” l’agence française de lutte contre le dopage”, précisait Florian Grill. ” Il y a une association de mots que je déteste c’est “cocaïne festive”. La cocaïne, ça tue, ce n’est pas festif du tout. C’est, peut-être, 70 ou 80 % des clubs y sont confrontés, c’est devenu endémique dans la société. Il faut traiter ces sujets. “. Bernard Bilhac orientait après le chicane sur le imperfection saccadé de la FFR.
L’vénération à l’convention du RCO
Florian Grill a déshabillé le hiérarchisation du RCO sur le Label Club amorcé qui décide les clubs sur à eux cheminement citoyenne, de l’immobilisation, de la santé-bien participer et de la Transition biologique, féminisation du plaisir. Au intact, 47 critères permettent d’calculer les clubs. Sur 2 000 clubs répertoriés au degré de l’Hexagone, celui-là du Cœur D’Hérault qui évolue en portrait de à eux volaille en régionale 3, (la dernière élément du rugby) représenté uniquement en terriblement brillante position du Label comme’il grattoir à la 167 position. ” Je leur tire mon chapeau”, saluait Florian Grill. Un vénération qui touchait congruent en ce 5 décembre, naissance Mondiale des bénévoles. ” Que serait la France sans les assos et les bénévoles ?”, interrogeait Florian Grill…
“Financièrement, la situation est catastrophique”
“Le budget de la Fédé c’est environ 130 M€. Le déficit structurel est d’à peu près 18 M€. Et la Coupe du monde dont on disait, avant mon élection, qu’elle rapporterait 200 M€, puis 5 M€… Au final cela perd 36 M€. La situation, honnêtement, est catastrophique. J’ai dit pendant la campagne qu’il nous faut redresser la situation en trois ans mais qu’on le ferait “hormis tasser(se) de l’foncier” supplémentaire sur les clubs. On est le deuxième ou premier sport dans les médias mais le 10e en nombre de licenciés. Nous avons besoin de relancer le rugby de la base “, diagnostiquait le monarque. Un encensement de maxime qui remettait le région, et le rugby chaland, au groupe du jeu.
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