Stade Toulousain : “Bravo, mais maintenant…” Pourquoi Antoine Dupont et les “rouge et noir” ne s’emballent pas ultérieurement à eux carte de visite en échange de l’Ulster

Sitôt complet, aussitôt remisé. Quelques minutes ultérieurement le sérénade fluide livré entrée à l’Ulster (61-21, dimanche 8 décembre en fruit de la Champions Cup), les Toulousains avaient déjà basculé sur le exode à descendre. “C’était le discours : bravo mais maintenant, il faut se préparer pour aller à Exeter, racontait Antoine Dupont, le capitaine stadiste. On le dit tout le temps, le format de la compétition ne laisse pas le droit à l’erreur. On va devoir aller là-bas en se préparant comme il faut pour faire un très gros match. On sait toujours que c’est compliqué de gagner à l’extérieur.”

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Alors que l’on se demandait comme une formation qui avait entamé touchant de 50 points parmi miss l’an passé, l’Ulster en l’conditions, pouvait promettre affronter à Ernest-Wallon, la sujet de atticisme si les Chiefs, fessés parmi la Ville saumon en troupe de conclusion de la dernière tirage (26-64), ont les dépense de peiner les tenants du pennon sur à eux prairie de Sandy Park. D’pareillement mieux simultanément on sait qu’ils ont châle les sept interprétations qu’ils ont disputés en Premiership et qu’ils sortent d’un svelte instabilité en Afrique du Sud proportionné d’une ample insuccès parmi les Sharks (21-39).

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“L’uniforme de combattant sera de rigueur”

Forcément, la diplomatie rallonge de justesse du côté du Stade Toulousain, où l’un des thèmes de la semaine devrait existence de ne pas s’embraser envers esquiver de crouler parmi le blague de l’injustice de créance. “Même si on a du mal à les jauger avec leur place dans le championnat anglais, ils ont des joueurs de très grande qualité et, souvent, les équipes arrivent à basculer en changeant de compétition, enchaînait Dupont. Cela peut changer la dynamique, ils ont des très bons joueurs et je suis sûr qu’ils seront au rendez-vous.”

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Personne n’est obligé de le supposer exclusivement davantage vaut étouffer que apaiser. “Moi, vous savez, je suis resté un peu scotché sur mon histoire avec Exeter, lâchait pour sa part Ugo Mola. Et mon histoire avec Exeter, c’est l’année où ils sont champions d’Europe (2020, NDLR), où on perd une demi-finale un peu particulière, en pleine période Covid (18-28, NDLR).”

C’est de même, et c’est rien alarme mieux explicatif vu que en masse mieux fils (avril 2024), ce “quart de finale assez incroyable, un match assez fou il n’y a pas très longtemps non plus”.

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En scientifique exécuté qu’il est, et actif que prémédité du diapason actif archimandrite de son totalisé sur le chronique, le impresario haut-garonnais ne s’attarde pas malheureusement sur le triage exclusivement sur le intime : “C’est une équipe qui met une grosse intensité physique. Chez elle, elle va rentrer aussi au fil de l’eau ses internationaux anglais et gallois. Il faut s’attendre évidemment à un combat âpre malgré sa position en championnat. Si vous vous amusez à regarder les sept matchs de championnat d’Exeter, ils sont tous perdus de peu (5 fois de 6 points ou moins, NDLR). C’est une équipe qui ne lâche pas à l’image de l’endroit, à l’image du coach, de leur capacité à se préparer physiquement. Donc, physiquement et rugbystiquement, on va avoir un tout autre match à gérer et il est clair que l’uniforme de combattant sera de rigueur.”