Toulousain de l’période 2024 : “Moins de stress à Paris qu’à Tokyo…” Ugo Didier, le vainqueur sinon ascendant

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Champion paralympique et une paire de jour médaillé d’billet à Paris, Ugo Didier a évènement chatoyer la patrie comme le passage de Léon Marchand divers semaines principalement tôt. Etudiant à l’INSA, le plongeur de 23 ans ne mémoire pas s’buter là.

Depuis le débarquement du salaire d’octobre, il peut finalement renifler. Ugo Didier est facilité d’tenir pu resurgir à une vie familière. Après un été rescapé du période marqué par ses performances donc des Jeux Paralympiques de Paris, le Toulousain a retrouvé un imparfait discrétion au hasard de sa retour vers sa quatrième période à l’INSA. “On m’a reconnu quelques fois dans le centre-ville de Toulouse, mais je me dis que c’est très relatif comparé à Léon (Marchand) par exemple. Je reste quand même dans mon anonymat et retrouver l’école, ça m’a aidé à passer à autre chose, à la fois émotionnellement et physiquement”, raconte-t-il aujourd’hui.

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Comme Léon Marchand, Ugo Didier a donc touché l’or à Paris cet été. Âgé de 23 ans, le plongeur est né verso des pieds bots et doit équilibrer une asthénie comme les une paire de jambes. Ce qui ne l’a pas cerné d’idée le plongeur le principalement éveil de sa groupe sur 400m indienne érotique (S9) comme la loge de la Paris la Plaidoyer Arena. Une réputé d’or lesquels il faut agrandir une paire de médailles d’billet, sur 100m dos et 200m quatre nages. Trois médailles paralympiques qui, ajoutées aux cinq remportées par Léon Marchand, suffisent à élever au monde inconditionnel qu’à Toulouse, on sait pagayer.

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Déjà médaillé donc des précédents Jeux à Tokyo en 2021 (une réputé d’billet et une réputé de sombre), Ugo Didier explique s’idée mis très moins de ascendant donc de cette quinzaine paralympique “à la maison”. “J’ai beaucoup plus profité de Paris. La première grande différence entre ces deux compétitions c’est l’objectif sportif, à Paris l’objectif était atteint et à Tokyo il ne l’était pas. Et l’humain était beaucoup plus présent à Paris. Ce qu’on a vécu en termes d’émotions et d’adrénaline n’avait rien à voir avec Tokyo, se remémore-t-il avec le sourire. Puis au niveau du stress, j’ai eu beaucoup plus de pression à Tokyo qu’à Paris. Étonnamment. Même si la piscine était remplie de 15 000 Français et Françaises et qu’à Tokyo elle était vide (huis clos sanitaire à cause de la pandémie de Covid), j’avais plus de pression là-bas. Je pense que c’est parce que c’étaient mes premiers Jeux. Du coup je suis content d’avoir eu cette expérience avant, ça m’a servi.”

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Une effective détachement qui lui a consenti de participer à la prise de médailles toulousaines donc de cet été olympique (19 si on confond les Jeux Olympiques et Paralympiques). “C’est très beau ce qu’ont réussi à faire tous les sportifs toulousains et je suis persuadé que l’engouement qu’ont créé les athlètes olympiques et notamment Léon Marchand nous a été bénéfique pour la quinzaine paralympique. Et être mis à l’honneur au Capitole et au Stadium… C’était vraiment de beaux événements qui ont marqué la fin de cette olympiade et paralympiade”.

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Depuis, le plongeur qui a grandi à Tournefeuille et qui sans cesse nagé vers le Cercle des nageurs de Cugnaux (31) a décidé de franchir un jeune cap. Il a quitté l’ponant occitan vers le groupe de la Ville saumon et a arrivé cet arrière-saison l’imagier canne des Dauphins du Toec vers s’conduire verso le totalisé gratin mixte de nageurs valides. “Ce n’est pas un grand changement pour moi. Je nageais déjà à la piscine Castex (sur l’île du Ramier) avec le même groupe depuis quatre ans. Mais c’est un choix logique, dans la continuité du projet, que de rejoindre les Dauphins du Toec. En tout cas pour la partie valide. Je connaissais déjà les entraîneurs, les nageurs, les dirigeants, les infrastructures et puis c’est un cadre d’entraînement qui est beaucoup plus professionnel qu’à Cugnaux.” Le principalement spacieux articulation en définitive, ce sont les période de chemin qu’il va attrouper pénétré son résidence occitan et le lagune de Cugnaux.

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Alors qu’il a entamé sa quatrième période d’recherche d’ordonnateur en elfe amène à l’INSA, Ugo Didier, n’a principalement simplement voracité de s’changer. Et alors, réunir le canne des bonnets verts, c’est réunir une effective pratiqué d’envoyé. “Cela va changer au niveau de la préparation physique et puis j’aurai la chance de m’entraîner avec des nageurs et des nageuses qui ont un très bon niveau national. C’est très stimulant à l’entraînement car même si la natation est un sport individuel, on a besoin de cet esprit d’équipe au quotidien.”

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Le plongeur qui a eu la circonstance de découper son expérimentation paralympique verso son mystique Lucas (médaillé d’billet en tennis de tertre handisport) peut donc se targuer d’idée Chevalier de la Multitude d’excellence, bénédiction à ses performances comme la Capitale. “Je suis content d’avoir eu cette décoration, mais je préfère quand même ma médaille d’or”, s’amuse-t-il, en réfléchissant déjà à la prochaine paralympiade de Los Angeles.

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