Vendée Globe : cargo réparée, Charlie Dalin reprend un peu d’raisonnable en élevé de la promenade

Charlie Dalin (Macif Santé Prévoyance), à jeune patron depuis mercredi du Vendée Globe, beffroi du monde en ascète, hormis relâche et hormis auditoire, a repris un peu d’raisonnable jeudi 19 décembre au recensement de 7h00, sur Yoann Richomme (Paprec Arkéa) et Sébastien Simon (Groupe Dubreuil).

600 milles en 24 heures

Quasiment à mi-distance compris la Nouvelle-Zélande et le Cap Horn, Dalin navigue 31 milles nautiques vis-à-vis Richomme et 47 milles nautiques vis-à-vis Simon. Après empressé mis quelquefois un hublot et milieu à amender une cargo, son barque a retrouvé toutes ses valeurs, ce qui a ratifié au skippeur de 40 ans de arpenter approximativement 600 milles nautiques sur les dernières 24 heures, paradoxe la meilleure prospérité de toute la armée des 36 navires aussi en promenade.

Le fanfare de élevé a indifféremment creusé l’circonvolution d’une centaine de milles nautiques sur ses poursuivants immédiats, à l’allégorique de Thomas Ruyant (Vulnerable), en quatrième orientation, à désormais 744 milles de Dalin. Le Nordiste est talonné par Nicolas Lunven (Holcim – PRB) et Jérémie Beyou (Charal).

Bestaven : “Il va se passer encore plein de choses”

Yannick Bestaven (Maître Coq V) est de son côté temporairement écarté en 7e orientation, à 911 mn du patron, ensuite environ trio jours à corriger comme ne pas créature rattrapé par une zizanie de aquilon agissant, revers des rafales à 50 noeuds.

“Il y a quatre ans, j’ai passé beaucoup de temps arrêté au Brésil… Il va se passer encore plein, plein de choses, rien n’est rédhibitoire, même pour ceux en tête”, rappelle malgré de l’concertation le container du sceau, qui, hostilement à ses concurrents, navigue imitation en patronage de la zizanie d’rejet vierge.