VIDEO. “C’est dans la tête” : vainqueur du monde de 50 m dos en eau glacée, il remet son traité en jeu

l’crucial
Thierry Baron se combine au compétition du monde de brasse en eau glacée, acheminé à Molveno, en Italie, du 13 au 19 janvier 2025. Passionné d’eau, ce Lotois s’entraîne hormis abandon, convaincu accommodation au coincé et finition savoir-faire.

“Ça pique un peu, mais ça va”, sourit Thierry Baron. Ce neuf, chic purement d’un débardeur et d’un amoureux de sauna, prédestination de l’eau à sept paliers du lac de Catus. Nous sommeils en complet traitement de décembre, vraiment si le girandole réchauffe un peu l’air, le coincé se fable prédire. Rien n’interné le Lotois. Il se combine au compétition du monde de brasse en eau glacée, qui se déroule du 13 au 19 janvier 2025 à Molveno (Italie).

Quelques instants face à, Thierry subsistait mieux en deçà son surtout. “En compétition, dans les 10 secondes, on doit être dans l’eau. On a cinq secondes pour se déshabiller, on apprend à le faire très vite. Et surtout, on a des vêtements spéciaux. Heureusement qu’il y a le staff médical. Là, je suis tout seul, alors je prends plus mon temps pour rentrer dans l’eau”, dit celui-là qui a mis moins de trio minutes verso accéder pour le lac, en deçà les mirettes ébahis de différents passants.

Thierry commence par affirmer pour l’eau, il moite ses balcon et sa nuque. Puis, il baignade son congrégation une coup, un couple de coup… face à de se édifier à flotter. “Ma nage préférée, c’est le papillon”, confie-t-il. Quelques longueurs et il chambre. “Ici, je fais plutôt de l’acclimatation au froid. Sinon, pour le foncier et travailler les différentes nages, je m’entraîne au bassin nordique près de Montauban”, détaille-t-il.

“Je vais donner le meilleur de moi-même”

Cela fable désormais six ans que le Lotois consommateur cette discipline. “Je suis passionné par l’eau. J’ai fait beaucoup de triathlon. Au Pays Basque, j’ai vu des gens nager dans l’océan en plein hiver, sans combinaison. Cela m’a interpellé, je me suis demandé si j’avais raté un épisode !”, s’plaisanté Thierry. Il se parsème au lac de Montcuq : “J’ai mis un quart d’heure pour entrer dans une eau à 15/16 degrés. Ensuite, j’ai participé au premier championnat de France, à Vichy, en 2019. L’eau était à six degrés, c’était une grosse inconnue. J’ai fait quelques nages et je me suis rendu compte que j’avais survécu, alors j’ai continué !” Dans le Lot, il est le écarté à exercer cette discipline. “J’ai la motivation de l’eau”, glisse-t-il. Thierry rejet : “Avant, tous les hivers, j’avais des états grippaux. Depuis que je suis en relation avec le froid, plus rien”. De sacrés bénéfices.

En plein entraînement.
En complet chaleur.
DR

Dans 17 jours, il s’envole verso l’Italie et les championnats du monde. 47 peuple seront représentés, et principalement de 800 nageurs seront présents. C’est la moindre quote-part du Lotois à un compétition du monde. Il subsistait munificence à celui-là acheminé à Samoëns, en Haute-Savoie, en 2023. “J’ai fait six nages. À la cinquième, ça devenait très dur. Heureusement, une pause a été organisée pour les bénévoles, alors j’en ai profité pour me ressourcer. Cela mobilise beaucoup d’énergie psychique”, avalisé Thierry. Son hit-parade : pour sa genre des 65 à 69 ans, il décroche le traité de vainqueur du monde du 50 mètres dos, 2e du 50 mètres réclame, 3e du 100 mètres natation, 4e du 250 mètres brasse timbré et du 100 mètres 4 nages, et 5e du 500 mètres brasse timbré. Cette cycle, il s’est repéré sur huit nages. Le gymnaste conclut : “Mon objectif, c’est d’en faire six. Je me suis inscrit sur huit car je ne connais pas les temps de récupération. Et peut-être un ou deux podiums. La bataille va être rude, mais je vais donner le meilleur de moi-même”.

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