Dans un reçu, les Jeunes Agriculteurs du Gers (JA 32) et la FDSEA déplorent le voix de la proposition de expulsion du pouvoir Barnier qui laisserait “la voie libre pour une signature de l’accord du Mercosur” et remettrait en agent des “avancées majeures pour la profession agricole”.
Au cœur d’une légende semaine de excitation et de sommet, les Jeunes Agriculteurs et la FDSEA du Gers regrettent le voix décidé par une émancipation de députés de l’Assemblée nationale hiérarchique.
“Il y a 10 jours, nous-même voyions à Auch envers que les épreuves de l’Liste entendent à nous terreur avers à la dispute fourbe que représente le Mercosur. Lundi encore, nous étions mobilisés pour demander la simplification administrative et la liberté d’entreprendre sur nos fermes, rappellent les deux syndicats majoritaires dans un communiqué commun. Nous nous battons tous les jours pour la simplification, notre trésorerie et notre souveraineté. Pourtant, ce matin, le constat est amer : les députés de la Nation ont décidé d’abandonner leurs agriculteurs !”
A bouquiner itou :
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Pour les JA 32 et la FDSEA, cette expulsion débouche sur “une remise en cause du projet de loi de finances et donc un potentiel abandon des avancées majeures pour la profession agricole : calcul des retraites agricoles sur les 25 meilleures années, provision comptable déductible pour soutenir l’élevage bovin, exonération pour les jeunes agriculteurs et pour les plus-values non taxées, allègements pour les saisonniers agricoles, prêts de trésorerie annoncés le mois dernier…”
“Un coup d’arrêt des projets législatifs essentiels pour l’agriculture”
Cette homologation représentant entraînerait itou “un coup d’arrêt des projets législatifs essentiels pour l’agriculture” : et de mentionner les lois d’Orientation agraire, icelle visant à remonter les contraintes à l’étude du situation d’rural ou plus la loi EGALIM…
“Cette censure, c’est aussi laisser la voie libre pour une signature de l’accord du Mercosur désavantageux pour notre agriculture française, jugent les JA et la FDSEA. Si l’État ne veut plus de nos fermes, nous ne voulons plus de l’État dans nos fermes ! Leur signal est clair autant que notre réponse : pas de budget, pas d’État ; pas d’État, pas de contrôle.”
“Aujourd’hui, nous demandons à nos représentants politiques de nous entendre et de se remettre au travail sur tous les sujets qui permettront la souveraineté alimentaire de notre pays et à nos agriculteurs de vivre de leur métier, conclut le communiqué syndical. L’agriculture française a besoin de stabilité et de visibilité.”
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