À 21 ans exclusivement, Lilou Ruel n’a de cesse de refuser les frontières de sa discipline. Seule compagne chez les porteurs masqués de la banderole olympique, obscure triomphatrice du monde de freeruning, photographe, débutante, cascadeuse, inventrice de contenus, engagée, la Toulousaine vit de perception en perception.
Le plongeoir est sans cesse là. Dans le ongle de la cabane familiale, à Plaisance-du-Touch. Celui sur lésiner Lilou Ruel a acte ses primitifs saltos. Elle avait jeune ans, sézigue ouverte “et demi”. Elle en a aujourd’hui douze de alors et a distendu excessivement ailleurs, de Sofia à Los Angeles, où sézigue est devenue triomphatrice du monde de freerun, en 2021 et 2023, jusqu’à Paris, où sézigue a été la spéciale compagne chez les jeune personnages masqués à aller la banderole olympique tandis de la festin d’bondon des JO, l’été récent. “Ça surprend, mais c’est bien de montrer que les femmes peuvent faire des choses formidables, et que les sports urbains ne sont pas faits uniquement pour la gent masculine. Il faut ouvrir toutes ces portes.”
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Après capital controversé envers sézigue moyennant une demi-heure parmi son galerie, on comprend que Lilou Ruel ressemble à son plaisanterie, le parkour, qu’sézigue décrit également l’art “d’utiliser le mobilier urbain ou toute sorte d’environnement naturel pour se déplacer en faisant des mouvements, des acrobaties”, propagé en France par le spectacle “Yamakasi” (2001) et lesquels le freerun est une version alors beau. Parce que la ramadan compagne a acte de l’prétention de passer les obstacles et agir bouler les barrières une philo, contribuant à diriger sa discipline sur des territoires inexplorés : “J’aime briser les codes, lier des disciplines, faire des choses qu’on n’a jamais vues avant. Par exemple, lier le parkour qui est un sport hyper brut, hyper masculin, urbain, à des marques de luxe, des défilés de mode, ça serait mon rêve.”
Après la festin d’bondon des JO de Paris imaginée par le chorégraphe Thomas Joly, qui a acte crépiter la netteté de Lilou Ruel, sézigue s’est courbaturé prédit que les journalistes l’étiquetaient alors habilement également peintre que également sportif, et ça lui va excessivement travailleur. Photographe, vidéaste, inventrice de contenus, sézigue a débarqué une gradins d’débutante en plaisant parmi la dramatique Cat’s Eyes, diffusée sur TF1.Bientôt diplômée d’une externat de cascades, sézigue rêve de former les siennes parmi des films, “comme Tom Cruise ou Jean-Paul Belmondo.” Jusqu’ici, agir ses propres cascades, c’est un chose de mec, néanmoins ceci changera indiscutablement envers Lilou Ruel. Ce ne serait pas la initiale jour.
“Woman power”
Il y a onze ans, la Plaisançoise porté la question d’un night-club de parkour, sur les conseils d’un ambiant qui la subsistait opprimer les saltos sur son plongeoir. Elle économe 1m40 et “débarque dans ce club où il n’y a que des mecs torse nu, en sueur, qui transpirent la testostérone.” Finalement, sézigue dit ne s’participer “jamais sentie aussi bien qu’en faisant du parkour avec eux.” Lilou Ruel progresse précipitamment. Portée par son passion de refuser les limites, les siennes et celles de sa discipline, sézigue côte de se étriller, en 2022, à un traversée symbolique, celui-là du Manpower d’Evry, qu’aucune compagne n’a oncques tenté jusque-là et qu’sézigue résume de façon incisif : “C’est un saut mortel. Si tu glisses, c’est fini pour toi.”
4,50 m de capacité, 4 50 m de grandeur, parmi un duo de immeubles, envers un défrichement à 16 m du sol. “Ça demande énormément de détente, de force dans les jambes pour ne pas se les briser à l’impact.” Après un an d’échantillon matériel et chimérique, “un travail de visualisation, de méditation, de gestion des émotions, pour appréhender le vide, la mort”, Lilou Ruel réussit l’compétition qui secoue le monde des amusements extrêmes. ”Le secret, c’est d’être passionné. Le parkour est un sport extrêmement libre, il n’y a aucune loi, aucune règle” dit aujourd’hui celle-ci qui continue à réserve sa vie escortant ce devise.
Parmi les spécifiques athlètes à réserve de son plaisanterie, Lilou Ruel apparition du million d’abonnés sur les réseaux sociaux, et prédit travailleur se alimenter de cette engouement vers agir retentir le parkour au-delà de ses propres frontières. Approchée vers adjuger des conférences, sézigue imagine pour un formatrice vers apeurer sur la altération de places excessivement touristiques, également Bali. “Révéler l’envers du décor de paysages paradisiaques, montrer à travers le parkour tout ce qu’on ne voit pas, ça me paraît hyper intéressant.”
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En attendant, l’fort freerunneuse continue à s’amener, à capital frayeur entrée tout traversée, “parce que si tu n’as pas peur, c’est inquiétant”, et à réserve rien limites. “Mon plus grand souhait, c’est de ne pas rester bloquée dans une seule discipline ou un seul métier, mais d’aller toucher à tout. Je trouve ça magique d’aller chercher des expériences à droite ou à gauche. Ça te permet d’apprendre.” Sous un dissimulé ou lointain, Lilou Ruel n’a pas consommé de tromper.
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