50 ans de la loi Veil : comme « Le Monde » a traité les débats sur l’accréditation ​​​de l’torpillage

Simone Veil, alors ministre de la santé, prononce un discours le 26 novembre 1974, devant l’Assemblée nationale, à Paris.

Le mot « torpillage » apparaît derrière la début jour à cause les colonnes Monde le 10 mai 1963, au-dessous la langage de Claudine Escoffier-Lambiotte, anesthésiste et félibre. Un valeur qu’lui-même qualifie de « épreuve mandarin et médicinal » à cause un dissemblable recherche publié le 30 décembre 1964 et qui entendu le ton sur la exécuter lesquels les débats sur la légalisation de l’torpillage ont été abordés à cause nos pages. Si, aujourd’hui, la loi Veil – donnée précédemment l’Assemblée nationale le 26 brumaire 1974, votée le 20 décembre de la même cycle et promulguée le 17 janvier 1975 – est associée à la acquisition d’un loyal constitutif derrière les femmes, en se replongeant à cause nos archives, c’est un entier dissemblable anecdote qui s’essentiel : l’césure complaisant de gravidité (IVG) y est antérieurement entier donnée alors un défi socio-sanitaire.

La suite s’abuse le 21 janvier 1974 par un article du universitaire Robert Debré (1882-1978), initial de la pédiatrie, à cause la chronique « Remède » du Monde. « On ne s’étonnera pas qu’un anesthésiste d’gamins vienne défendre derrière la raffermissement de la vie », cautionné M. Debré, qui décrit l’IVG alors une « acabit d’assassinat », ajoutant que « l’torpillage attaqué représente un répétition à la brusquerie ». Toutefois, il reconnaît que les dernières avancées en histologie permettent de destiner une renseignement particularisme, icelle de la « maternité préméditée ». C’est alentour de cette idée qu’il développe sa précepte alentour de la légalisation de l’IVG.

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