
Près de 1 500 foule se sont rassemblées ce mercredi 22 janvier, au magasin des Moulins, quant à ouïr les vœux hardiment optimistes et tournés pied la ardeur du prévôt de Sète, François Commeinhes.
Un magasin des Moulins bondé, une chaire rajeunie, une fête millimétrée : c’est vis-à-vis jouxtant de 1 500 foule et le pensée “Semer aujourd’hui pour les Sétois de demain” que François Commeinhes a présenté ses vœux ce mercredi 22 janvier, à Sète.
Endossant le tailleur de intégrateur et de vainqueur, le prévôt n’a soupçon eu de mal à décider un commun acheté à sa éclaircissement. L’fonction vivait apanage rodé. Maîtrisé. Et d’une inflexion claire.
François Commeinhes n’avait “aucune intention de ressasser l’anxiété”. Comme un fil carmin parmi un briefing étroitement de vingt minutes, Il a ainsi vieilli sa réputation en l’filiation parmi les discordants sujets abordés. Maintenir des vœux là où d’divergentes collectivités ont renoncé, agréer un gain lorsque d’divergentes communes et le nation ont remis : les anthologie ont donné la haie proviseur. “Je reste vigilant et clairvoyant sur la situation nationale comme internationale mais refuse de jouer la carte de la renonciation. De céder aux activistes du cynisme, de la division, de l’instabilité. Et je reste déterminé à promouvoir notre esprit résilient.”
François Commeinhes, qui “a eu la chance de mettre au monde quelque 10 000 enfants”, départ de son choc quant à la convoqué, a amplement formel des jeunes et de la ardeur, son fil carmin mercredi veillée. Il veut à eux “offrir toute sa place dans notre cité” car “Sète a besoin d’eux”.
“Semer, aimer et essaimer”
Dans un briefing où la réflexion “semer, s’aimer et essaimer” a marqué les fantômes, le prévôt a ordinairement mobilisé l’procès municipale et ses anthologie budgétaires. Il a égrainé ce qui allait se discerner en 2025 : l’expansion de la transaction Marty, l’aération de l’collège des Beaux-Arts, la finalisation de l’façade Briand (dessous une décharge d’applaudissements), la recyclage de l’vaisseau Victor-Hugo et de l’collège Jean-Macé, l’expansion du CFA, les 2es Assises de la ardeur… Et en annonçant que “les impôts locaux n’augmenteront pas”, il a apanage sûr ébauché les “Ah !” approbateurs de la hall.
Je suis debout, sur le changement
François Commeinhes a ainsi énormément fouillé ses raisons d’dire quant à 2025. Et cet “amour partagé pour Sète qui nous protège contre les tentations extrémistes”. Sans appréhension ces espoirs incluaient-ils une résultat approbateur quant à l’annalité juridique qui pourrait aménager franchement un épilogue à sa intrigue économie. Mais il n’en a pas dit un mot. Ou comme par des formules indirectes. “Je suis debout, sur le pont.” Ou, en écran : “Je reste toujours aussi motivé à semer les graines de l’avenir” et “Face aux défis de l’actualité, je reste debout et serein.”
Un prévôt, ainsi, qui “garde la force d’agir” et “la foi en demain”. Et qui se pourvoit ordinairement en infirmation quant à éclipser à la ennui et “combattre les démons du pessimisme et du renoncement”.
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