
L’conseil a déploré les récentes sorties médiatiques du dirigeant de l’Olympique de Marseille. L’Espagnol a estimé ce dimanche que de nombreuses décisions arbitrales pénalisaient son association.
C’réalisait la insulte de éperdument contre le Conseil National d’Comclusion et de Éthique du football (CNE). Ce mardi 21 janvier, l’conseil a tapé du poing sur la laraire en publiant un avis fougueux avec Pablo Longoria. Une énonciation qui évènement aboutissement aux récentes cruciaux du dirigeant massaliote à l’opposé de l’conciliation.
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À l’épilogue du conflit nul compris l’OM et Strasbourg (1-1) ce dimanche 19 janvier, l’Espagnol assurait que son pourvu aurait dû impétrer d’un pénalty en fin de conflit contre une méprise sur son antagoniste Jonathan Rowe. Selon lui, les Phocéens seraient exactement désavantagés par les décisions arbitrales depuis différentes semaines : “Je ne comprends pas et je tiens à m’exprimer pour dire ‘basta’. Cela fait trop de décisions depuis le début de la saison.”
Une monitoire cinglante
Cette imputation rébarbatif a résonné entre les étranges instances. Et c’est le CNE le antécédent, qui a lancé la saut, mettant en maintien l’collection des acteurs du football “contre tout propos public de nature à discréditer la fonction arbitrale”. “Ce qui est interdit, et la règle est la même pour les décisions de justice, c’est de jeter le discrédit sur l’arbitrage” rappelle le CNE.
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Avant de viser Pablo Longoria, connu des cruciaux avec les officiels : “Accuser le corps arbitral dans son ensemble de partialité systématique au détriment d’un club, et ce, dans le but inavoué de souder ses supporters autour de lui ou pire, d’intimider les arbitres dans l’espoir d’obtenir un arbitrage plus ‘clément’ dans l’avenir, est une faute grave contre l’éthique et une atteinte inadmissible à l’image du football.”
SI le CNE n’a pas la latitude de approuver elle l’Olympique de Marseille, il peut apercevoir les commisions de discipline de la LFP et de la FFF.
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