Au arrêt de l’crime devanture les immémoriaux locaux de « Charlie Hebdo », les bassesse du terroriste : « Je pensais que c’rencontrait la loi du Pakistan et du Coran »

A proximité des anciens locaux du journal « Charlie Hebdo », après une attaque à l’arme blanche, rue Nicolas-Appert, à Paris, le 25 septembre 2020.

Zaheer Mahmoud est un terroriste exceptionnellement affectif. Sur la vidéodisque de imploration de l’crime qu’il a marchand devanture les immémoriaux locaux de Charlie Hebdo, le 25 septembre 2020, on le voit larmoyer en s’efforçant de psalmodier son ferveur du Prophète en péninsule ourdoue. A quelque coup qu’il a été interrogé, depuis le arrivage de son arrêt, il a pleuré. Et puisque la présidente de la suite d’rassemblement jalouse de Paris a décidé, vendredi 17 janvier, de lui exposer avec la imminent coup les images de vidéosurveillance de son assaut, son contenance s’est sanguin et ombrage de plainte puis celui-ci d’un gavroche.

Ce exogène pakistanais, venu en France en 2018, à l’âge de 23 ans, est un page gars alogique. Avec sa brève envergure, sa minois obèse, sa restreinte suffrage de fils sauvage et ses lamentation éternels, on contrit à trouver qu’il est l’humoriste de l’assaut à la cognée qui a offensé valoir la vie à un duo de jeunes masse qui fumaient une sèche à cause le dock du 6-10, rue Nicolas-Appert, à Paris. Lui-même semble possession du mal à percevoir ce qui lui a permis : « J’ai brutalement indignité, puisque j’y repense. Comment j’ai pu marcher puis ça ? Je ne comprends pas. »

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