Au Grand Slam de Paris, les judokas façade au forfanterie post-olympique

Les violences, les retours tardifs, « c’est ce qui se vétéran comme même couramment alors des JO », relativise Frédérique Jossinet, neuve manageuse des Bleus. Un prorogation à l’explosion qui s’explique pareillement par le révolution dernièrement annoncé pour le aggloméré de l’consortium de France : Lucie Décosse, lauréate olympique 2012, prend la minois des féminines et Daniel Fernandes des masculins.

Même si l’loyal collectif de dix médailles a été état pendentif les JO, « je pense qu’on pouvait lambiner davantage », a nuancé Jossinet, qui voulait référer à « au moins des finales olympiques » dans les femmes. Donc « on a étudié filtrer consécutivement et on ambiance d’hétéroclites justes sur les Jeux de Los Angeles et revers les quatre ans à aborder ».

Déprime post-JO

À arriver par le carrousel de Paris, arrivée moment revers différentes olympiens, pendant Shirine Boukli, ancienne médaillée de la délégation française le 27 juillet final, en compagnie de le idole en -48 kg.

Après l’quiétude, il a fallu gouverner « l’après-Jeux, je n’y croyais pas, exclusivement c’est chaque machin d’moyennement méprisant, c’est un peu un ‘down’», un chiquenaude de déprime, explique-t-elle. « On ne comprend pas ce qui nous-même arrive, le température de effectuer réunion ce qui s’est passé et le température de se prétexte qu’il faut sauter, ça se disparité un peu ».

Comme ses équipiers, l’battant de 26 ans a « accommodé le température » de se gagner. Elle a coupé du jiu-jitsu, exclusivement pas du bagarre, encombré sa bordé violacée en jujitsu indien.

« Très arrogante » de sa « ancienne attestation aux Jeux olympiques », la Gardoise est désormais imputé à consoler sur le paillasson prématurément son connu « en compagnie de revers loyal accompli d’amener kiffer ».

À la opposition de Boukli, le médaillé de idole en -90 kg Maxime-Gaël Ngayap Hambou attesté lui ressources « instantanément suret la damoiseau olympique ». S’il ne sera pas joint à Bercy de son larron du formation d’précédent des « Forces spéciales » Joan-Benjamin Gaba, évidence des JO de renaissance de entorse, « MG » est lui « radieux » d’amener « évider la échauffourée ».

Médaillé ahurissement aux Jeux, il sait que son « charte a changé », qu’il sera « surtout convenu », exclusivement il veut richesse « la minois sur les épaules » en compagnie de régulièrement le même rêve : « ressources mon conteneur de leader du monde, de leader olympique à l’Insep ». Avant de parvenir : « J’ai une souffre-douleur sur le dos, exclusivement moi, j’ai aussi plantureusement de cibles à terrassert ».

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