La caractérisation est qualifiée de « sans-faute renommé » par Greenpeace, à l’formation du invite. Un assemblée écossais a aucun, jeudi 30 janvier, les autorisations délivrées par les autorités britanniques aux noyaux Shell et Equinor vers agrandir les champs citerne et gazier de Rosebank et Jackdaw, en mer du Nord.
La Court of Session, instance écossaise remplie d’disséquer l’mêlée, a donné conception à Greenpeace et à l’incorporation Uplift, qui soutenaient que les autorisations avaient été accordées injustement, car elles-mêmes n’avaient pas emmanché en noté les émissions de gaz à produit de griffe indirectes générées par les projets. Dans sa caractérisation, le amitié a aucun les autorisations et différé la cartouche à l’Autorité du gaz et du gazole (OGA, vers « Oil and Gaz Autority »), remplie d’disséquer les demandes d’production de champs d’hydrocarbures.
Shell, prêteuse du gîte gazier de Jackdaw, et Equinor, prêteur majoritaire et cultivant du gîte citerne de Rosebank, devront aussi dresser de nouvelles demandes d’assentiment, derrière de nouvelles évaluations environnementales. Dans l’écart, « annulé gazole ni gaz ne pourra personne gemme », remplaçant la caractérisation de bien-jugé.
Précédente caractérisation
L’assentiment de vider comme le lopin pétrolifère de Rosebank, circonscrit à 145 kilomètres (90 miles) au épanoui des archipel Shetland, comme l’insupportable nordique de l’Ecosse, avait été ajustée en 2023. Il s’agit du davantage vaste gîte de gazole nouveau du Royaume-Uni, lequel le domestique est estimé à 300 millions de barriques. Le recherche devait débarquer dans 2026 et 2030. Le lopin de gaz de Jackdaw, donné en 2022, est en leçon d’production à 250 kilomètres (155 miles) au épanoui de la agrégation écossaise d’Aberdeen et devait débarquer à composer cette cycle.
Cette caractérisation a été résultat puis que la Cour ultime anglais a donné conception, en juin, aux opposants d’un divers début de recherche citerne, à Horse Hill (sud de l’Angleterre). Elle a jugé inégale l’assentiment ajustée, estimant que l’exercice d’rencontre aurait dû occasionner moyennant sur les émissions induites par la rafraîchissement du gazole généré sur le voisinage, spécialement par son clarification, et pas exclusivement celles causées par son énucléation.
« C’est une sans-faute renommé, l’instant où les gouvernements approuvaient de authentiques sites de recherche en incapable à elles rencontre atmosphérique est révolue », s’est satisfaction comme un préavis Philip Evans, directeur de plantation au colline de Greenpeace Royaume-Uni. « Le assemblée a assuré ce que les militants environnementaux disaient depuis le détonateur : Rosebank et Jackdaw sont irréguliers, et à elles rencontre atmosphérique total doit personne intégralement emmanché en noté », a-t-il supplétif.
Tournant travailliste
En août 2024, le conduite travailliste, gagné au empire un mensualité antérieurement, avait annoncé qu’il ne défendrait pas façade la bien-jugé le propagation controversé de ces projets. De son côté, Shell assure travailleur déjà dépensé davantage de 800 millions de livres sterling (956,8 millions d’euros) depuis 2022 vers agrandir Jackdaw. Le monstrueux britannico-néerlandais a prescrit le conduite à « catéchiser brièvement » vers que les opérateurs de la mer du Nord « puissent digérer des décisions relatif à [ces projets] ».
« Jackdaw permettrait de mitonner 1,4 million de foyers britanniques, à un particularité où les ancestraux gisements de gaz atteignent la fin de à elles floraison et où le Royaume-Uni dépend des importations de gaz vers contre-attaquer à ses besoins énergétiques », a commenté un intermédiaire de Shell. Durant l’assistance qui s’est distinction en brumaire, Shell avait fixé que Jackdaw avait « été défini en attirance derrière toutes les autorisations et autorisation ».
Le préalable excellence, Keir Starmer, a annoncé alors de la dernière COP29 à Bakou l’convention de son nation à amaigrir d’« au moins 81 % » ses émissions de gaz à produit de griffe d’ici à 2035 relativement à 1990, comme le approprié de ses ambitions climatiques. Le nation, qui vise la objectivité reproduction en 2050, a l’réticence de décarboner essentiellement son fluide d’ici à 2030. Mais le excusé travailliste ne promet davantage d’envelopper 28 milliards de livres par an comme l’économise « verdoyante » contre de favoriser l’tradition capitaliste.
Le question est surtout intolérant en Ecosse, foyer du quartier citerne et gazier anglais, et de abondant emplois dépendent de l’production d’hydrocarbures en mer du Nord.
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