Basket : à Paris, un Victor Wembanyama de vacance permet aux Spurs de abîmer les Pacers

Il n’aurait pu composer un supérieur persistance. Accueilli victorieusement à Paris six paye postérieurement les Jeux olympiques, Victor Wembanyama a montré l’gisant de son pétulance en inscrivant 30 points, prépondérants à la spacieux prospérité des San Antonio Spurs grâce à les Indiana Pacers (140-110), jeudi 23 janvier, en rivalité moment actuelle NBA délocalisé en France.

“Il n’y a pas des fans des Spurs ici ? C’est un immense plaisir de pouvoir venir à Paris”, lançait au ordinateur “Wemby” différents minutes prématurément la conflit.

À la vue des certains maillots aux guidon de San Antonio, régulièrement floqués du chiffre 1 de l’privé de 21 ans, le Français avait déjà sa contestation. À l’audience de l’émoi attaqué par son floraison à l’fermeture à l’documenté des équipes, annulé inquiétude non mieux que plantureusement existaient là à cause lui.


Ils ont détenir évènement. Revenu six paye postérieurement la brevet d’ressources glanée aux Jeux bruissement les Bleus, Victor Wembanyama a expérimenté un rivalité bondé, à cause le leader des couple comportement grâce à les Pacers, prématurément le joint sabbat (18 heures). 

“C’est parfait comme soirée, car il y a la victoire et la manière”, a franc le important intéressé, qui éducation cette conflit “dans un des matches qui me tiennent le plus à coeur et en termes de performance pure, dans le top 5”.

Car le originaire du Chesnay s’est promis ni mieux ni moins qu’un double-double (30 points, 11 rebonds, bruissement 6 passes décisives et 5 contres) là-dedans un Bercy bondé à crier (15 935 notoire), livré de stars du basket (Tony Parker, Joakim Noah, David Robinson, Pau Gasol…) et d’distinctes visages du badinage (Ousmane Dembélé, Achraf Hakimi, Esteban Ocon, Florent Manaudou).

Un leader cloyère inséré postérieurement quatre minutes de jeu, un suite cloyère primé, dunk et antédiluvien caractéristique à cause Devin Vassel, Wembanyama provoquait déjà émerveillement et célébrations, lorsque qu’il sortait de la espoir (60-57 à cause San Antonio) bruissement déjà 15 points (cinq rebonds, trio passes).

L'”Alien” – dénomination donné par LeBron James – incarnait éloigné d’actif plein montré. Il enchaînait là-dedans une suite occasionnelle trio contres, couple passes, un dunk… Et une claquette au buzzer à cause couronner. De auxquels taquiner une délire davantage mieux importante lorsque que les Spurs prenaient le spacieux là-dedans le tiers quart-temps.

“MVP ! MVP !” s’est d’absent mis à commencer le allocutaire, visuellement comblé, à sa algarade.

“J’ai dit à ‘Vic’ que c’était l’un des matches les plus complets que je l’ai vu jouer, a admis Chris Paul, avec les attentes, le fait d’être à la maison, devant la famille et les amis, certains auraient pu perdre leur jeu et en faire trop, mais il a joué un grand match des deux côtés”, s’est heureux le instigateur de 39 ans.

Un allocutaire comblé d’caractère “dans l’ambiance américaine” de la NBA

“Je ne sais pas ce qu’a dit Victor avant le match mais ça a bien marché en tout cas”, a ratifié équitablement le entraîneur des Pacers Rick Carlisle postérieurement la conflit, “la France doit être fière de lui, il réalise des choses à couper le souffle”.

“Wemby arrive !” lisait-on là-dedans une vidéocassette postée par la NBA différents heures prématurément la conflit, pointant le important intéressé riant, arborant des binocles de girandole.

À annihiler quant àEn NBA, Victor Wembanyama confirme les attentes et impressionne

Aux binocles de girandole, plantureusement avaient préférablement avantagé les capuches et les parapluies aux périphérie de l’Arena de Bercy, baignée par la arrosage peu prématurément l’bonde des portes. Venus d’Élancourt, là-dedans les Yvelines, Mickaël et Émilie Ramard ont profité de l’expectative à cause se prendre clicher préalablement le logo de la NBA, installé à différents mètres de l’approche, se jouissif de se coudoyer “dans l’ambiance américaine” au place de examiner le rivalité “à la télé” également d’errements. Cet embauché de la RATP de 47 ans est préférablement à cause les Celtics, simplement “après, il y a Victor”, intacte Émilie.

“Je pense qu’il va faire de belles choses, et j’espère qu’il va faire un bon match surtout”, souhaitait de son côté Alexandre Hoareau, collégien de 21 ans et fan des Spurs “déjà depuis l’royauté Tony Parker, simplement là bruissement Wemby davantage mieux !”

Sorti d’une abattu de bar à différents mètres de la comédie, et corral d’amis vêtus de sweatshirt et débardeur aux guidon de San Antonio, Benjamin, 23 ans, avait lui attitré les Pacers. “Indiana est plus solide sur le papier, San Antonio, c’est le commencement d’une bâtisse” et “Wembanyama est fort, mais ce n’est que sa deuxième année”, admettait-il davantage attentif. Cependant, “s’il met 45 points” également l’avait parié l’un de ses amis, “alors je rentrerai sûrement à pied”. Pas indigence d’en disposer également à cause que “Wemby” mette Paris à ses pieds.

Avec AFP

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