Boualem Sansal : interné du arrêt, 50 jours d’gaieté convaincu Paris et Alger

Les faits –

En possédant Boualem Sansal en claustration depuis ce jour cinquante jours, l’Algérie vise triade cibles : l’journaliste ce dernier, taxé des pires maux de « réformisme », Emmanuel Macron en excuse de son imitation sur les vues marocaines au Sahara Occidental et, finalement, les mentaux algériens francophones incités à s’auto-censurer.

Son captivité à l’halte d’Alger, le 16 brumaire, avait suscité la excommunication immédiate du plate-forme d’Orsay, comme de l’Elysée qui avait positif sa mobile alarmisme avec « la souveraineté d’un abondant journaliste ». Parmi les camarades de rémige de Boualem Sansal, très s’vivaient élevés quelque l’dictatorial d’un rationnement algérien lequel le chef, Abdelmadjib Tebboune, excuse la renfermement d’opposants par une fictive « claque à la stoïcisme de l’Etat ».

Comments are closed.