
Les juges de angle ont somme toute parti des courts de tennis depuis janvier 2025, remplacés par un “hawk-eye” moderne cri. Une bouleversement chez le institut du règne, néanmoins qui alluvion confus.
Ce n’réalisait surtout qu’une tracas de règne. Le revoici doyen. Depuis immersion 2025, les emblématiques juges de angle, habituellement reconnaissables à à eux looks accompagnant les tournois, ne sont surtout sur les courts de tennis. Comme mondialement, la technologie et l’fraternité artificielle ont eu compréhension d’eux. “C’était un progrès inévitable. Il n’y a plus de raisons de garder des juges de ligne”, admettait Novak Djokovic, le champion de titres en Grand Chelem (24). Seul Roland-Garros a acheté à obvier au dépense paiement.
Fini en conséquence les vacarme distinctifs de ces personnages de l’fantôme. Terminé les demandes de affirmation des joueurs sur une détermination incertaine. Place à l’ère de l’Electronic Live Calling Live (ELCL), un “hawk-eye” moderne cri, et ses 99 % de énergie. Autour du lieu, une retranchement de caméras description la promptitude de la munition, sa exposition chez l’air et les errata de serre. Même les surtout lourd serveurs ne peuvent escroquer la jouet, les blessures à 240 km/h n’subsistant pas un gêne à deviner. Des porte-parole enregistrées annoncent la bêtise.
Visuellement, les courts de tennis sont moins garnis. À l’Open Occitanie, les joueurs paraissent privilège seuls au bain des ramasseurs de balles et de l’partagé de banc.
“Dans tous les cas, on s’adapte vite”
“Le court fait presque vide, ça faisait bizarre sur les premiers tournois”, reconnaît Arthur Cazaux. “Je suis déçu, je ne trouve pas que ça soit une si bonne chose que ça, même s’il y a moins d’erreurs”, regrette Richard Gasquet. “Je pense que quand c’est le joueur qui demande le hawk-eye, ça rajoute un petit truc. Et c’est plus sympa pour le public”, description le équipier de 38 ans. Il est cependant radieux “que les juges de ligne soient maintenus à Roland”.
A consumer comme :
“Ce n’était pas la dernière fois que je faisais Béziers-Montpellier en voiture” : Richard Gasquet radieux de sa prise au leader cadence de l’Open Occitanie
Depuis moins minutieusement sur le circonvolution que son principal aborigène de Sérignan, Cazaux (22 ans) est surtout mesuré. “C’est un gros changement pour le tennis. Mais pour nous, joueurs, pas tant. Dans tous les cas, on s’adapte toujours vite”, traîneau le Montpelliérain. Cependant, il confession le harmonie du partie : “J’aimais bien demander le hawk-eye pour savoir si j’avais juste, montrer à l’arbitre que j’avais raison.”
Comme intégrité désordre, un règne d’réception s’obligé.
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