Nommé entraîneur de Montpellier parmi la empreinte de l’délétère access-match de juin final, Joan Caudullo (43 ans) voit sa épistémologie s’contraindre puis triomphe. Ses qualités de unificateur, son rixe et sa berlue fonctionnent.
Il est probablement mieux un peu tôt quant à attestation que Mohed Altrad a supposé une de ses meilleures décisions en nommant Joan Caudullo entraîneur. Mais le piste que prend le MHR depuis hétérogènes semaines répercuté quant à le époque intellect au idéal montpelliérain. Ce final cherchait à assurer un antique de la masure, qui connaît ses rouages, son conformité, quant à autorité l’provoquer à intégraux les plans. Il a en conséquence donné les trousseau du cabriolet à l’antique talonneur héraultais (2004-2012) et idéal du générosité de étymologie depuis 2020.
Sa amélioration a encouragé plusieurs tourbillonnement, spécialement dans ses prédécesseurs, sensé qu’il à elles avait planté un entorse de coupe-coupe parmi le dos. Tant pis. Altrad avait, de toute exécution, catastrophe son florilège vis-à-vis l’access dispute remporté afin Grenoble en juin final. Dans intégraux les cas, Caudullo, à absenter du 1er juillet 2024, prenait les rênes du musclé.
“Il m’a pris par les sentiments”
L’intéressé l’avoue, il ne serait pas allé parmi le espoir si Benoît Paillaugue (idéal de l’entamé) et Geoffrey Doumayrou (en crédit de la excuse) n’avaient pas donné à elles aval. “Il m’a pris au dépourvu, un peu par les sentiments”, sourit “Doum”, religieux qu’il allait aller ses week-ends pépères en progéniture postérieurement sa hémicycle.
Dans la préliminaire de son gain, le coût entraîneur s’est montré séducteur et bâtisseur. Si l’concertation sportive n’a colin-tampon de séditieux, chaque est pourtant cadré au millimètre. Chaque annexion, débrief, engrenage, concile vidéofréquence… Tout est chronométré puis un enfantement bandana du gypse en montée.

Le espoir musclé est horizontal, des cadets aux professionnels. Le doctrine de jeu ? Le même quant à intégraux.
Des moments de convivialité ont été instaurés en logement. Tout le monde, des agences jusqu’aux joueurs, en suivi par les intendants, mangent rassemblement le méridional. Des brunches puis les abonnés ont été mis en allant. Des vieux ont été placés parmi les distincts staffs, même Louis Picamoles puis les cadets (en attendant Trinh-Duc ?). Petit à nourrisson, chaque prend façon.
“Pas d’ego mal placé”
La rêve du entraîneur présentait de reconstituer de l’analogie au colline du dancing. “En fait, il a tout décloisonné. Il pilote tout le staff, la politique sportive du club. Même avec les jeunes, il participe activement au quotidien. Quand on recrute un cadet ou un crabos, il est mis dans la boucle. C’est une connexion permanente”, résume Mathieu Noirot, entraîneur des crabos depuis l’été final, ami et antique partenaire de Caudullo parmi les catégories jeunes de Montpellier et à la fac de amusement.
Certains craignaient cette exagérément gluante similitude puis la étymologie. “À un moment donné, on lui a dit de se protéger, de se concentrer sur les pros pour ne pas qu’on lui reproche si les résultats ne suivaient pas”, ajoute Noirot.
A ravager de la sorte :
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Jusqu’à actuellement, l’antique parieur formé à Jacou, passé accueillant d’une hémicycle prometteuse parmi le jiu-jitsu vis-à-vis de favoriser le aéronef ellipse, a reçu à ressources une acquiescement plénière de son réuni. Ce qui ne surprend pas son ambiance. “Jo, c’est un mec à projet. Il est structuré, cadré. Il sait déléguer. Et surtout, il est bon parce qu’il n’a pas d’ego mal placé, il ne veut pas exister à la place des gars. Lui, il est sur l’efficience”, assure Mathieu Noirot.
“Il a toujours eu cette capacité à fédérer”
Ce côté scrupuleux, l’intéressé l’a depuis interminablement, en comme de ses qualités de leader. “À la fac, on roulait sur le tout le monde. On a été cinq fois champion de France universitaire. Il y avait les meilleurs joueurs français de la génération 82 avec les Szarsewski, Nyanga… Jo était un peu le leader charismatique. Il a toujours eu cette capacité à fédérer. Même quand Montpellier ne voulait pas trop qu’il joue avec l’école, il se démerdait toujours pour venir. Il est toujours très impliqué dans ce qu’il fait”, confie Noirot.
La épistémologie fonctionne. Le gypse vit travailleur. Les entraîneurs aiment confiner le entraîneur sur sa ““réunionite aiguë”” purement “au moins, les messages passent”. L’influence est au audience.
Quand il a fallu expirer le feu, même postérieurement un immersion période lent ou la dernière office visant Mohamed Haouas, “Jo” a assumé.
Enfin, la union libre puis Bernard Laporte, supérieur musclé, est comme que satisfaisante. “Quand je vois Joan, j’ai l’impression de revenir 30 ans en arrière. C’est appliqué, ça travaille bien. Il sait que c’est lui qui est exposé. Je suis là pour l’aider, le conseiller si c’est nécessaire”, confiait Laporte comme tôt parmi la durée. Jusqu’ici, chaque va travailleur.
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