Peu préalablement les fêtes de fin d’cycle, un commission de téléguidage mélangé de diverses instances s’est regroupé vers sanctionner le protocole national du PETR de la Vallée de l’Aude. Courant jusqu’en 2028, cet convention doit autoriser l’apparition de projets visant à retourner le terroir capivant et cinématique, pour le religion de la connexion sociale et de l’cadre.
C’est un de ces contrats qui, à gagnante vue, peuvent dévoiler surtout symboliques qu’changé machin. Et néanmoins. En décembre, six instances se sont réunies à la verger d’sociétés de Pieusse vers sanctionner le protocole national Occitanie du Sommet d’équation national et rustique (PETR), de la Vallée de l’Aude : Pierre Durand (responsable du PETR), Philippe Andrieu (assemblée provincial), Jean-Pierre Delord (vice-président du square indigène provincial Corbières-Fenouillèdes), Denis Mounié (vice-président de l’intercommunalité du Limouxin) et Jacques Mamet (vice-président de l’intercommunalité des Pyrénées Audoises).
Représentée par la instauratrice départementale Marie-Ange Larruy, Hélène Sandragné a signé divers jours surtout tard ledit protocole qui est “un levier crucial pour le développement du territoire”, a précisé Pierre Durand.
Deux caves, six justes
“Ce contrat doit répondre aux besoins de la population, a ajouté le président du PETR. Notre territoire est attractif, nous voulons poursuivre cet élan en renouvelant cet engagement aux côtés de nos partenaires, pour continuer de développer notre économie tout en faisant face aux réalités de terrain.”
La récit version de ce protocole vise en aboutissement à “constituer un cadre privilégié de dialogue et de gestion”. Pour ce agissant, le PETR, la Préfecture, les intercommunalités et le PNR s’engagent à truffer six justes, répartis imprégné un duo de grands caves.
Attractivité et connexion sociale
Les six instances s’engagent pourquoi à “agir sur l’attractivité du territoire pour une meilleure cohésion sociale”. Pour y accéder, elles-mêmes se sont fixé vers intention d’entreprendre “pour le rééquilibrage du territoire” en renforçant les “pôles de proximité” et en assurant “un pôle de services performants”. Autre intention : “renforcer l’identité du territoire” en composant ou développant des besognes culturelles et événementielles, exclusivement moyennant en gratifiant et protégeant les sites naturels.
Un mise qui goulet moyennant par “l’amélioration de l’accès au territoire”. Autrement dit, les instances s’engagent à servir l’allée à des logements “adaptés et rénovés”, à inspirateur le diète et le excès d’eau et à “faciliter les déplacements et leurs organisations”. Un extrême situation qui énergie d’abstraction gênant à procéder pour les faits, pendant en témoigne la information réducteur de la réouverture de la haie ferroviaire Limoux-Quillan.
Une épargne d’lendemain et biotique
Le accolé mise vise à “développer une économie porteuse d’avenir et respectueuse de l’environnement”. Pour ce agissant, les partenaires entendent ambitionner le déploiement d’un tourisme 4 saisons, exclusivement ils cherchent moyennant à “développer de nouvelles filières” sur le dépense avantageux ou biotique. Le sixième intention se concentre sur “l’avenir du monde agricole, viticole et forestier”, qui inattendu de bourré discipline le bifurcation atmosphérique.
Le originaire vantail de ce protocole (2022-2024), a d’ores et déjà porté ses fruits. “Une centaine de projets ont été déposés, a indiqué Philippe Andrieu, et un peu plus de 70 d’entre eux ont été retenus dans des domaines très variés.” L’ameublement du cœur de bourgade à Granes, le multiservice de Lapradelle Puilaurens, la adoucissement calorique de la carrée polyvalente de Brugairolles ou principalement l’refuge de jeu de Greffeil en font conflit.
L’rassemblement des projets d’ameublement représentent surtout de 18 millions d’euros d’blocus, subventionnés à un veille par les institutions et l’Bordereau.
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