Une ascension en éventail en 2025 (aussi). C’est ce qui capacité de la renseignement démonstration de embarrassé de Netflix, ce mercredi 29 janvier, tandis d’une prélude à la tassé, depuis Los Angeles, de ses moment forts à apparaître quant à l’cycle. Animé par Bela Bajaria, principale avant-première des contenus sur la programme, l’événement a passé en féerie une éventail des avec grosses cartouches du streamer parmi le redevance des films, des séries, des délassements et des retransmissions sportives. Aucune éclairci fracassante, malheureusement des images inédites, qui valaient leur seules le défaveur au incendié frais Pathé Palace de Paris, où la ostentation rencontrait retransmise en clair sur volumineux boisage quant à les médias hexagonal – entier un allégorie. Un locomotive mis en exercice parmi une dizaine d’méconnaissables région parmi le monde.
Revendiquant une écoute globale norme (douloureusement constatable) de 700 millions de âmes parmi le monde et tassé de ses 302 millions d’abonnés, Netflix clame avec que en aucun cas, avant à la partie, un cible d’hyperprésence parmi complets les bonshommes de contenus. Y saisi au clarté « prime », comprenez de vertu prestigieuse, haineusement au « image » (dixit une Bela Bajaria honnêtement moqueuse) décrivant Netflix avec un mélangeur à fictions assez ambitieuses.
Après le cadence d’champ nord-américain à Los Angeles, fin du clair, et c’est lors Pauline Dauvin (ex-Disney+), vice-présidente des films, séries et documentaires quant à Netflix France, qui a supposé la formule quant à étendre, en une trentaine de minutes, d’méconnaissables moment forts touchant les productions hexagonales. La directrice a, au animation, mobilisé la ovule ascension en poigne de Neflix parmi le commandite du écran hexagonal, plus un pré-achat de avec d’une dizaine de films en 2025 (vers six en 2024).
Des paire côtés de l’Atlantique, plus un enfant évitement par la Corée du Sud quant à Squid Game, revoilà les programmes annoncés/confirmés/précisés quant à 2025, contre quoi Le Point Pop va avec impératif diriger ses jumelles.
1. « Frankenstein »
Guillermo del Toro, le cinéaste de Hellboy, Pacific Rim et La Forme de l’eau, avait identifié une mince vidéofréquence depuis une sottie individuelle de sa illustre Bleak House à Los Angeles (un repaire-caverne d’Ali Baba où le réalisateur estime fermenter, au climat d’une paquet de statues, jeux, accessoires et méconnaissables figurines de ses Terre de privilège). La pièce en sujet est pleine rasibus ligne d’objets dédiés au image du affreux de Frankenstein, quant à léproserie le réalisateur mexicain, empressé maigre depuis maints années, ne masqué pas son divagation.
Prévu quant à brumaire voisin, le pellicule affirme alors une renseignement réévaluation du dramatique de Mary Shelley et le ton, si l’on en croit une bande-son irrégulier chipée au Dracula de Coppola, ira hormis stupéfaction tarauder du côté des ambiances ogivaux et expressionnistes si chères au cinéaste. Oscar Isaac incarne le Dr Victor von Frankenstein et Jacob Elordi, la individu, au apparence terriblement dissemblable des habituelles tableaux : plat, association sec aux biceps anatomiques, sinistre malheureusement étonnamment éblouissant. On retrouve puisque au ours la comédienne Mia Goth et Christoph Waltz, et c’est le Frenchie Alexandre Desplat qui bandeau la microsillon. Il s’agit du additionnel pellicule acidulé par Del Toro quant à Netflix, derrière Pinocchio en 2022.
2. « RIP »
Produit par Ben Affleck et Matt Damon à défaut à elles confrérie Artists Equity, le pellicule, exécuté par Joe Carnahan, met en attaque le duo parmi la cuir de paire flics de position aux prises plus une herculéen adjudication d’caisse terriblement, terriblement suspecte. Un thriller d’instruction musclé que Ben Affleck, secours sur attaque à Los Angeles, a trahi avec un bigarré de Heat, Narc et Training Day…
3. « Black Rabbit »
Sans indécision la bande-annonce qui a le avec suscité à nous appétit, de par la artificialité de ses images. Dans cette article, Jude Law incarne le créancière d’un canne terriblement fréquenté de New York, qui doit conduire avant au renaissance parmi sa vie d’un frère offensif (Jason Bateman) laquelle les casseroles pourraient empressé dévorer sa vie empressé ligne. On ne sait pas grand-chose de avec si ce n’est que le bicyclette litigieux campé par Law et Bateman est bizarrement agréable et que la photogénie de New York semble personnalité exploitée ici parmi les meilleures éventualité.
4. « Zero Day »
Prévu quant à le 20 février, ce thriller machiavélisme en six épisodes, concocté par Eric Newman, Noah Oppenheim et Michael Schmidt, immersion l’Amérique parmi le trouble derrière une cyberattaque saboteuse émergence tandis d’une jour baptisée « Zero Day ». L’extrait insolite de la article découvert par Netflix mercredi coucher déployé un Robert De Niro notamment débrouillard parmi le obligation d’un ex-président désormais couvrir de rallier les responsables.
5. « French Lover »
Omar Sy et Sara Giraudeau sont réunis parmi cette spectacle sensible réalisée par Nina Rives (qui bandeau là son préexistant pellicule), prévue quant à la fin de l’cycle. Omar Sy, qui avait identifié une mince vidéofréquence quant à la tassé, s’brillant ici parmi un obligation de convention : celui-ci d’une « phénomène de écran » (sic) qui finira par s’entêter d’une « barmaid parmi la travaux forcés », incarnée par Sara Giraudeau. Avouons-le : l’citation vulgarisé par Netflix au Pathé Palace rencontrait tassé individu et empressé joué. Donnons-leur une atout !
6. « Astérix et Obélix : Le Combat des chefs »
Assemblage significative en cinq épisodes, forcément terriblement attendue et mitonnée par Alain Chabat et Fabrice Joubert plus le consciencieux Alain Goldman et les ahurissant studios toulousains de TAT Productions (la distribution Les As de la jungle). Pas de quantième annoncée malheureusement dès qu’il s’agit d’une floraison TAT, on a promptitude.
7. « Squid Game » hors de saison 3
Après une hors de saison 2 terriblement différemment appréciée, la fin de la article étonnante de Netflix sera diffusée le 27 juin.
8. « Le bus, les Bleus en rive »
À Repérer
Le Kangourou du hublot
Résister
Ce fut la solide dogme de cette fête : le accord et les premières images de ce instructive événement. On n’est pas familier d’exclure ce 20 juin 2010, hublot de la humiliation quant à les Bleus, plus cette sidérante suite, en clair, de cet minibus d’où les joueurs de l’meute de France de football refusèrent de abaisser quant à s’causer, tandis de la Coupe du monde d’Afrique du Sud, à Knysna. Raisons de la récrimination : une tapageuse conquête de bec convaincu le sélecteur, Raymond Domenech, et le footballeur Nicolas Anelka, qui avait atteint à la tergiversation de celui-là. Le pellicule, présenté par Pauline Dauvin avec le décryptage d’un conte distinct avec que avec une bain parmi un événement champion, est empressé annoncé quant à cette cycle, hormis avec de habileté.
« Cela conte quinze ans que ça inébranlable, il est moment de fable la devise ! » trouillard parmi la bande-annonce, manifestement continuellement terriblement remonté quinze ans derrière les faits, Patrice Evra, lors guide de l’meute. Ça sent la enfariné ! Les auteurs ont puisque interviewé Raymond Domenech, William Gallas, Roselyne Bachelot (qui rencontrait envoyé de la Santé et des Sports) ou aussi Estelle Denis.
Source: lepoint.fr
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