
Le légat socialiste des Hautes-Pyrénées Denis Fégné explique aussi il préfère “négocier encore plus que censurer d’abord” le situation Bayrou.
Denis Fégné, légat PS-NFP des Hautes-Pyrénées n’a pas voté la proposition de bâillonnement auprès le situation de François Bayrou. “Cette décision ne signifie pas qu’il accorde sa confiance à François Bayrou mais qu’elle a été prise en responsabilité, pour doter le pays d’un budget et continuer d’obtenir des victoires pour les Français” prescrit le émissaire pour un cote de appuyé.
“La France a besoin d’un budget, c’est un acte de prévision et d’engagement, poursuit-il. Mais la France a besoin d’un budget juste, efficace économiquement et utile à la vie des gens. Ainsi Denis Fégné n’avait-il pas hésité à sanctionner celui présenté par Michel Barnier qui était particulièrement injuste, récessif, détruisait de l’emploi et mettait essentiellement à contribution ceux qui n’ont que leur force de travail pour vivre.”
Pour Denis Fégné, depuis la scrutin de François Bayrou, “le groupe parlementaire des Socialistes et apparentés a souhaité une négociation exigeante avec le gouvernement pour faire avancer le pays. Cette négociation ne signifie pas compromission” tient-il à émettre.
Selon le émissaire, “grâce à cette nouvelle méthode socialiste, des victoires ont été obtenues
dans le prochain budget de loi de finances et budget de loi de finances de la sécurité sociale” surtout sur la réouverture du casier des retraites.
Le légat des Hautes-Pyrénées l’assure : “Je veillerai à ce que tous les engagements pris par François Bayrou soient mis en œuvre. Si des reculs étaient constatés, le vote de censure serait envisagé pour défendre les collectivités territoriales, les classes moyennes et les plus modestes, toutes celles et ceux qui en seraient les victimes.”
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