Après l’alerté par Meta de l’répit de son plateforme de fact-checking aux Comptes-Unis, les autorités brésiliennes ont haussé le ton mercredi 8 janvier, à l’touchant d’un seigneur de la Cour parfait fustigeant “les bravades de dirigeants irresponsables” des géants du cardinal.
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Sidonio Palmeira, nouvellement titularisé nonce de la Communication par le administrateur de rustaud Luiz Inacio Lula da Silva, a jugé “mauvaise pour la démocratie” la volonté de l’industrie de Mark Zuckerberg, qui regroupe les plateformes Facebook, Instagram et WhatsApp.
De son côté, le tribunal communautaire de Sao Paulo a annoncé détenir donné 30 jours à Meta revers progresser si cette volonté “s’appliquera ou non au Brésil“, vers d'”évaluer”, le cas finissant, “dans quelle mesure elle peut avoir un impact sur les droits des usagers de ces plateformes”.
“Les réseaux sociaux ne sont pas des terres sans loi. Au Brésil, elles ne continueront à opérer que si elles respectent la législation, peu importent les bravades de dirigeants irresponsables des big techs”, a lancé le seigneur de la Cour parfait (STF) Alexandre de Moraes, lorsque d’un adresse à Brasilia.
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Ce avocat à la coup solide et controversé a déjà eu maillon à déménager derrière le chef d’un discordant colossal du cardinal, Elon Musk, créancière du lacis X (hier Twitter). L’an moderne, il avait tracé la sursis de cette estrade, restée bloquée sautoir 40 jours au Brésil, revers non-respect de décisions judiciaires réclamant singulièrement la résiliation de listes soupçonnés de désinformation.
Auparavant, Elon Musk avait accentué à maintes reprises le seigneur Moraes de “censure”, le qualifiant de “dictateur” et le comparant à Voldemort, le barbare de la fable Harry Potter.
La progressivité des réseaux sociaux débattue
Mardi, Mark Zuckerberg avait rappelé lorsque de son alerté sur les réseaux sociaux des “tribunaux secrets en Amérique latine qui peuvent ordonner silencieusement à des entreprises de supprimer” des contenus sur les plateformes digitaux.
“C’est une déclaration très forte, qui qualifie le STF de ‘cour secrète'”, avait réagi là-dedans la trace Joao Brant, journaliste chargé des politiques digitaux malgré de la présidium brésilienne, éreintant le chef de Meta de “chercher à servir les intérêts” du administrateur élu étasunien Donald Trump.
Selon le nonce de la Communication Sidonio Palmeira, la volonté du additionné ténèbres au “contrôle de la prolifération du discours de haine et de la désinformation”. “Ce contrôle est nécessaire, il faut que les réseaux sociaux soient régulés, comme c’est le cas en Europe”, a annexé ce pésentateur dirigeant de la djihad revers l’favoritisme qui a accueilli à Lula d’extorquer un intermédiaire blanc-seing fin 2022, en vexant au associé fréquence son devancier d’insupportable cordiale Jair Bolsonaro.
Le STF a inauguré en brumaire des débats sur la progressivité des réseaux sociaux et à elles vertu extérieur à la désinformation, un assemblée qui devrait reconduire hétéroclites salaire.
Mercredi, Lula a rappelé le propos de la désinformation lorsque d’une fête en “défense de la démocratie”, un duo de ans ensuite les émeutes du 8 janvier 2023 à Brasilia, supposé que des subjectifs de Jair Bolsonaro avaient saccagé les endroits de corse, une semaine ensuite l’cérémonie du administrateur de rustaud.
“Nous défendons et nous défendrons toujours la liberté d’expression. Mais nous ne tolérerons pas le discours de haine et la désinformation, qui mettent en péril la vie des gens et incitent à la violence contre l’État de droit”, a honnête le administrateur amazonien.
Une volonté saluée par Bolsonaro
L’annonce de Meta a, vice versa, été saluée par Jair Bolsonaro, censuré à huit ans d’inéligibilité en 2023 revers détenir éparpillé de fausses informations sur les cénotaphes électroniques utilisées au Brésil.
Ce moderne a partagé sur son état X une livraison protestant que “Mark Zuckerberg a reconnu que sa politique de vérification des informations était allée ‘trop loin’ et annonce la fin de la censure sur les réseaux sociaux”.
L’AFP participe là-dedans principalement de 26 langues à un plateforme de fact-checking désenveloppé par Facebook, qui rémunère principalement de 80 médias à flanc le monde, y imprégné au Brésil, revers arguer à elles “fact-checks” sur sa estrade, sur WhatsApp et sur Instagram.
Avec AFP
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