
Avec une bordereau à foison itérative, la FDSEA et les Jeunes Agriculteurs de Tarn-et-Garonne mènent raid dans les élections à la Chambre d’arboriculture sur une défilé nette : un syndicalisme de corvée qui se veut faux de maxime dans condamner les intérêts des agriculteurs du Tarn-et-Garonne à cause toutes les négociations et eues des résultats concrets.
Depuis le 7 janvier 2025, la raid dans les élections des cours d’arboriculture bat son empli. En Tarn-et-Garonne, la bordereau FDSEA/JA se veut représentative de l’arboriculture du commune, à cause toute sa dissimilitude. C’est ce que soulignent Jean-Philippe Viguié, Anselme Pailhiez, Barbara Castagné et Patrice Raujol, entiers candidats à cause le communauté 1, que nous-mêmes avons rencontrés jeudi 16 janvier au rocking-chair de la FDSEA 82.
La accord de la bordereau
“Nous présentons une liste largement renouvelée, avec des gens expérimentés mais aussi beaucoup de jeunes qui représentent toute l’agriculture du département dans ce qu’elle a de spécifique : les circuits courts, la diversification des productions, une taille économique de l’exploitation qui donne des perspectives. C’est la fierté de nos deux syndicats de défendre les exploitations agricoles familiales et diversifiées qui font la richesse de notre territoire”, expose Jean-Philippe Viguié.
Comment les paire syndicats mènent raid
Pour engager à eux check-up (comme’ils avaient à foison remporté les dernières élections en 2019) et établir en devant à eux proclamation, FDSEA et JA ont orné d’administrer des retrouvailles cantonales (1) de purement quant à des rencontre sur un traduction déterminé. Ainsi, en décembre, à Molières, Christophe Chambon, le chef du FMSE, est apparu cancaner d’un chapitre délicat dans les éleveurs : les maladies vectorielles. Ce 16 janvier, à Garganvillar, dans invoquer la PAC et les spécificités de l’Occitanie s’affaisser des grandes cultures, FDSEA et JA avaient convié Céline Imart. “C’est la seule députée européenne capable de défendre l’agriculture française”, considère Jean-Philippe Viguié. “De façon générale, dans cette campagne, on veut montrer ce qu’on fait, ce qu’est le syndicalisme de travail. FDSEA et JA sont force de proposition pour porter la voix de l’agriculture du Tarn-et-Garonne au plus haut niveau.”
L’eau, un mise foncier
FDSEA et JA mettent un traduction très en culminant à cause à eux proclamation : l’eau. “Nous sommes le seul syndicat à défendre l’irrigation pour apporter du revenu et de la valeur ajoutée dans nos exploitations. L’enjeu est de rendre l’accès à l’eau plus simple”, souligne Jean-Philippe Viguié. Maraîcher bio en aéré claire, Anselme Pailhiez n’aurait en aucun cas pu s’établir à Lacourt-Saint-Pierre s’il n’avait pas bénéficié de l’eau du chenal de Montauban à Montech. “Je paie un abonnement, c’est grâce à ça que mon exploitation de 5 hectares est viable et j’ai pu embaucher un ouvrier.” Autre type, icelui de Patrice Raujol. L’métayer de Nègrepelisse a lancé un brouillon de lac “pour faire de l’antigel et ainsi sécuriser mes productions fruitières”.
“Le syndicalisme TikTok a ses limites”
Dans cette raid, qu’ils abordent à cause le accoutrement de favoris, FDSEA et JA essuient des capitaux des relevés concurrentes, en délirant de la Coordination rurale. “On ne les a pas vus pendant 6 ans et là, ils sortent une série de mensonges, notamment sur la situation financière de la chambre d’agriculture de Tarn-et-Garonne. La chambre qui est sous tutelle, c’est celle du Lot-et-Garonne (NDLR : présidée par Serge Bousquet-Cassagne, de la Coordination rurale), pas la nôtre. On a voté un budget à l’équilibre en 2024, notre situation est saine”, prévu Patrice Raujol.
Jean-Philippe Viguié regrette quant à que la CR “se livre à des attaques de personnes visant le président sortant de la Chambre Alain Iches ou Arnaud Rousseau, président de la FNSEA”. Il préfère établir en devant les résultats concrets obtenus par son fédération. “En 4 ans, on a ramené 60 millions d’euros dans le département, plus 15 millions d’euros d’exonérations de cotisations pour l’embauche de saisonniers agricoles dans le cadre du dispositif TODE. Sur le prix du GNR, on a été capable de faire changer la politique nationale. Ce qui nous motive, c’est de pousser des dossiers précis. Le syndicalisme TikTok, il a ses limites.”
Le redevoir d’accord de la Chambre d’arboriculture
Anselme Pailhiez veut quant à exposer les idées reçues s’affaisser du redevoir de la Chambre d’arboriculture. “Quand j’ai voulu m’installer en 2021, tout le monde me disait La Chambre, ça sert à rien, faut pas y aller. Au contraire, j’y ai trouvé beaucoup d’aide et d’accompagnement. On a vraiment besoin de se former, ce rôle de la chambre d’agriculture est crucial”. Pour son brouillon d’arrosage, Patrice Raujol a pu ménager sur l’défenseur des techniciens hydrauliques de la Chambre. Pour l’implantation des jeunes quant à l’office consulaire méplat un seigneur redevoir. “L’accompagnement et la validation économique sont des conditions indispensables pour s’installer. Il faut se lancer dans des projets solides et viables”, met en devant Barbara Castagné. Productrice de fraises, pommes, raisins et prunes à Castéra-Bouzet, elle-même explique comme en tenant son époux elle-même a inventé une distribution sauvé conteneur, en rachetant les terres d’un fermier qui partait à la inoccupé rien indemnité familiale.
Une postérité à métamorphoser
En Tarn-et-Garonne, la norme d’âge des chefs d’distribution se situe compris 54 et 55 ans. “Autrement dit, dans 10 ans, la moitié des agriculteurs seront partis à la retraite. Il y a un vrai enjeu : pour que des gens prennent la relève, il faut qu’on ait des moyens et des revenus. Ce qu’on veut, c’est voir des agriculteurs dignes et heureux, qui soient bien dans leurs bottes. Pour ça, il fait réconcilier les agriculteurs avec leur environnement, avec les citadins. On ne demande qu’une chose : pouvoir travailler et gagner notre vie dignement”, conclut Jean-Philippe Viguié.
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