Élections agricoles : La CGT veut défoncer son marque

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Il n’y a pas que les syndicats agricoles qui sont appelés à décider à cause les élections dans lequel les tribunaux d’Agriculture, laquelle le voix a engrené ce mercredi. La CGT s’investit dans lequel le séminaire “salariés”.

La CGT ans le monde agraire ? Oui, il existe une ligue nationale Agroalimentaire et Forêt, la FNAF, laquelle le entremetteur Aquitaine et Midi-Pyrénées, Nicolas Magnanou rencontrait moderne appuyé du Foirail. “On a beaucoup parlé des agriculteurs toute l’année dernière, mais pas du tout des salariés dans le monde agricole, qui représentent pourtant plus d’un tiers de l’effectif de production.” Dans les Hautes-Pyrénées, par aperçu, 3 000 agriculteurs sont appelés à décider, et pas moins de 2 150 ouvriers, ce qui label le faix qu’ils représentent, ou devraient… “Oui, c’est un peu déséquilibré”, admet Julien Cantegreil, un des candidats de la CGT dans lequel les une paire de collèges ouvriers, “pour le collège agriculteurs, il y a 18 sièges à pourvoir, pour les salariés, seulement 6… De plus la crise agricole est là, on en a tous entendu parler, et les salariés, qui sont “invisibles”, en payent le prix fort : c’est de plus en plus la course à la rentabilité, avec des salaires au rabais, des temps de travail non respectés, des heures supplémentaires non payées.”

“Il faut de la reconnaissance”

Bref, les ouvriers du monde agraire veulent en chef position “la reconnaissance de note travail, avec de vrais salaires. Il faut savoir que 80 à 85 % des salariés agricoles ont des contrats précaires. Sans compter la question du logement, ou de la santé au travail.” Spectateur de ce monde agraire pas si intime que l’on croit, Marion, qui est portière de cheptel. “Bien sûr, notre activité est par définition saisonnière, nous sommes une centaine sur le département, et nous travaillons donc essentiellement d’avril à septembre. Or, les salaires sont à peine au-dessus du Smic, alors qu’ils sont subventionnés de 80 à 100 % par l’Europe… Et actuellement, je touche 470 € par mois, soit moins que le RSA, et en prime, je dois assumer les frais de mon “aménagement”, à savoir trois chiens spécialisés. Non seulement j’ai dû les acheter, les dresser, mais je dois les nourrir toute l’année, avec un salaire de misère, payer les frais vétérinaires… Ce n’est plus possible, on a bien essayé de négocier un avenant spécifique aux gardiens de troupeaux, mais qui n’apporte rien de fondamental.” Une essence de “quart-monde” agraire qui fossé complètement inférieurement les radars. Mais la CGT entend apanage joindre les collèges, et battre certaines mauvaises moeurs…

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