Favori des Golden Globes, “Emilia Pérez” va-t-il compléter sa mue en abondant première ? C’est somme l’pari de la foire qui se tient dimanche 5 janvier contre l’rapport proportionnée de Jacques Audiard sur la raccordement de essence d’un narcotrafiquant mexicain.
Le histoire du producteur métropolitain relevé dix nominations, surtout comme les catégories meilleure sottie, retouché artisan, meilleure débutante contre Karla Sofía Gascón comme le activité cartouche, retouché adjoint activité femelle contre Zoe Saldaña et Selena Gomez, et retouché continuité.
Avec un performance de nominations contre une sottie proportionnée, ce histoire primé à Cannes et prêché par Netflix “est le grand favori, de loin”, rappelle à l’AFP Pete Hammond, du lieu spécialisé Deadline.
Tourné en majorité en lusitanien, le long-métrage concourt pareillement comme les catégories retouché histoire universel, meilleure brassard neuve, et meilleure tube – un duo de nominations. Sa récolte donnera une éclaircissement sur son virtuel contre les Oscars en ventôse.
“Anora”, le abondant contraire
Selon Pete Hammond, son grave ennemi contre le coût de la meilleure sottie rebut la Palme d’Or cannoise “Anora”, où Sean Baker alternatif les contretemps d’une tempérance roulure de Brooklyn, dépeinte en Cendrillon créateur.
À deviner comme“Anora” de Sean Baker : une Palme d’or méritée ?
Carton vendeur des fêtes, “Wicked” apparaît “désavantagé”, envers strictement quatre nominations.
Mais sa monstre Cynthia Erivo, qui incarne la magicienne du “Magicien d’Oz” apparence à la soprano Ariana Grande comme cette cohésion d’une sottie proportionnée de Broadway, pourrait arrêter la comparse à l’débutante transgenre Karla Sofía Gascón.
“Elle est tellement spectaculaire dans ce film, (…) la façon dont elle chante pendant qu’elle vole dans les airs”, insiste Pete Hammond.
Le spectacle métropolitain à l’force
Un hétéroclite histoire métropolitain, “The Substance”, pommette pareillement les “outsiders”, apostille le courriériste.
Cette allégation horrifique de Coralie Fargeat, où Demi Moore incarne une primitive notoriété d’Hollywood droguée à un cruor de adolescence, relevé cinq nominations, surtout comme les catégories meilleure sottie, retouché préparation et meilleure débutante.
Conte chagrin sur les diktats de la fraîcheur perpétuelle, le histoire “va trouver un écho à Hollywood”, dignité Pete Hammond.
Encore marqués par le ample chahut évident en 2021 sur les manquements éthiques, le discrimination et la concussion de à elles amas, les Golden Globes se sont beaucoup réformés ces dernières années. Ils ont surtout annexé puis de 200 amas venus des quatre coins du sphère à à elles tribunal.
Un cataclysme qui se ressent comme les nominations, subséquent Pete Hammond. La foire est “moins prévisible” et “assurément plus internationale. Ils sont plus ouverts à des genres de films différents”.
Les catégories dramatiques, conventionnellement séparées des comédies par les Golden Globes, reflètent pareillement cette courant.
Le histoire cajun “The Brutalist”, tête d’un ingénieur sauf de l’Holocauste enviable de reconstituer sa vie aux Bordereaux-Unis, a gardé sept nominations. Il vise le coût du retouché histoire film, seulement devra surtout se abattre du thriller pontifical “Conclave”, sélectionné comme six catégories.
Concurrence pendant les actrices
Les vedettes des un duo de films, Adrien Brody et Ralph Fiennes – diamant en nonce englué comme les manigances du Vatican contre sélectionner un coût prélat – s’affrontent contre le cartouche de retouché figurant comme un histoire film.
Une coude comme à laquelle pourrait s’convoquer Timothée Chalamet, contre son allégorie remarquée de Bob Dylan comme “Un parfait inconnu”.
Mais cette cycle, c’est sur le étoile des actrices que les Golden Globes sont les puis susceptibles de juger, triade jours individu la enclos du scrutin contre les nominations aux Oscars.
Déjà sanguinaire côté comédies, la concours l’est somme tellement côté drames.
Angelina Jolie brille envers son herméneutique de la diva Maria Callas comme “Maria”, Nicole Kidman impressionne en homme de aigrit à la volupté moue comme “Babygirl”, et Fernanda Torres émeut en veuve dévouée à ses bambins en deçà la monocratie brésilienne des années 1970, comme “Je suis toujours là”.
Sans manquer Kate Winslet, qui impute ses visage à la photographe de hostilité “Lee Miller”, ou Pamela Anderson, surprenante en almée de communiqué rattrapée par l’âge comme “The Last Showgirl”.
Les Oscars, qui ne séparent pas les drames des comédies, ne retiendront que cinq comédiennes.
“La catégorie meilleure actrice est tellement encombrée que certaines personnes qui auraient sûrement gagné lors d’une autre année ne seront même pas nominées”, observe Pete Hammond. “C’est là que les Golden Globes peuvent vraiment être utiles”, ajoute-t-il.
Avec AFP
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