Angers, Le Havre, Montpellier… Les clubs de bas de pancarte, qui ne peuvent se tromper sur les aptitudes TV des coupes d’Europe, sont les primitifs à admettre. Sur croupe de degrés de rudesse, ils veulent davantage alléger la collection salariale des joueurs, antécédent correspondance de revenu.
Un caution budgétaire moyennant joindre les salaires à Angers, Le Havre placé au-dessous retape contrôlé, Montpellier qui enseigné en CSE un avant-projet de réaménagement à dériver… Si la descente des aptitudes TV est brutale moyennant l’rassemblement de la Ligue 1, les “petits” sont au antécédent chapelet moyennant supporter la prolixe. Lyon, rétrogradé en Ligue 2 à pennon externat, catastrophe représenté d’restriction entre les “gros” en faculté de l’dette de son propriétaire majoritaire.
Au MHSC, en ces heures troublées où les emplois risquent de danser – 39 000 en jeu parmi l’diplomatie du foot pro en France – c’est mutisme radiographie au apex du discothèque. Mais Laurent Nicollin avait été le antécédent à soulever dès le 17 août devant à une revêtu de aptitudes TV réduite de 60 % cette durée (7 millions d’€ au secteur de 19,5).
Laurent Nicollin : “on va sortir des jeunes qui ne toucheront que 40 000 euros”
“On a le championnat qu’on mérite, on a les droits qu’on mérite. C’est à nous de nous bouger le cul en baissant la masse salariale, avait prévenu le président du club. On va sortir des jeunes qui toucheront 40 000 € au lieu de 100 000.”

Pour la grand nombre de ces clubs, le mercato d’hibernation téméraire de s’ressembler à une désenveloppé foire moyennant présager un peu de trésor. À l’durée de diriger ses états, imprégné ballons d’oxygène et balles perdues, La Ligue apparaît mieux que en aucun cas divisée imprégné les pros et les antis Vincent Labrune, réélu à la grand de l’compétence fin 2024.
“Notre championnat est totalement démonétisé”
Jean-Michel Roussier émarge parmi la suivant strate. “Il n’y avait rien d’inéluctable dans cette baisse des droits TV. Aucun autre pays européen n’a enregistré de baisse. Ça fait des années que le foot manque d’anticipation et se gargarise de petits résultats à très court terme. Notre championnat est totalement démonétisé, c’est consternant”, considéré le monarque du Havre, qui dénonce “des erreurs stratégiques dans la réflexion menée pour la commercialisation des droits. Il aurait fallu la confier aux gens dont c’est le métier.”
Pour disposer produit OMTV en 1999, l’ex-président de l’OM est devenu un amateur en la organisation, traité subséquemment moyennant ourler en 2011 l’cyclothymique gourmette Cfoot de la LFP, pendant de télédiffuser les matches de la Ligue 2 : “Par expérience, je sais qu’une chaîne ne se crée pas en un mois. Il y a une stratégie à mettre en œuvre, un marketing à réfléchir. Le faire en août dernier pour diffuser la L1, c’était trop casse-gueule, je n’y étais pas favorable à ce moment-là. Concevoir aujourd’hui un produit de ce genre sans avoir le support de distribution que représente Canal, c’est aller dans le gouffre. C’est ça qui est dramatique.”
Colmater parmi un embarcation qui prend l’eau
Comme monde de ses collègues, Jean-Michel Roussier essaye de barrer parmi un embarcation qui prend l’eau de toutes parts. “C’est extrêmement compliqué, souffle-t-il. On regarde tous les coûts. Je souhaite d’ailleurs que DAZN réussisse. Car si on doit créer notre propre chaîne dans deux ans cela supposera une période pendant laquelle les clubs n’auront quasiment rien en recettes. On est engagé dans une nouvelle économie à concevoir pour les 5 prochaines années.”

“Dans le recrutement et les charges, beaucoup de choses vont changer”
Certains clubs pourraient abandonner à débourser à elles chapitre féminine. Mais c’est la collection salariale des joueurs, antécédent correspondance de dépenses (mieux de 40 %) qui est parmi le judas des présidents. “La Ligue 1 a tellement de vitesses différentes qu’une régulation est difficilement concevable, estime le président du Havre. Nous, on va réguler nous-mêmes. Dans l’organisation du recrutement, sur les charges, beaucoup de choses vont changer.”
Jean-Michel Roussier craint d’pareillement mieux moyennant l’famille de son discothèque que “tout a été fait pour les clubs européens qui finalement souffrent beaucoup moins que les autres puisqu’ils bénéficient des droits internationaux de la L1 vendus à l’étranger. L’écart entre eux et nous est devenu considérable.” Un abysse qui téméraire, hélas, d’en détruire nous.
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