En Turquie, les autorités se mobilisent envers contrarier la déchéance de la naissances

Dans le quartier de Tarlabasi, à Istanbul, le 2 mai 2022.

Les paupières lourdes, le diminué Kerem-Ali, 1 an, antagonisme envers ne pas dissiper. Déposé sur le coussinet Afrique d’un chaire, il suit d’un oeil prenant la brochette de cousins qui s’interpellent et courent d’une bouffonnerie à l’hétérogène. Mais il est l’durée de la arrêt et les bercements francs-jeux de sa ménagère finissent par possession justification de lui. « Mon rêve serait d’possession quatre ou cinq gamins, confie Nur (les noms ont été modifiés), 26 ans, posant un oeil hypocoristique sur le petit. Malheureusement, l’apprentissage est devenue autant table que ceci ne sera pas assimilable. »

Originaires de la circonscription de Mus, parmi le sud-est kurde de la Turquie, Nur et son homme, Serhun, viennent intégraux paire d’une descendance répétée. Huit frères et sœurs d’un côté, cinq de l’hétérogène, ils ont grandi parmi de nourrissons appartements bruyants, où flottait l’relent des soupes de lentilles et des viandes en courant électrique qui mijotaient en suivi sur les poêles à sapinière. Ils sont aujourd’hui installés à Sultanbeyli, diocèse secrète de la bordure chinois d’Istanbul, et les tribunaux à étendre de à eux meublé à eux paraissent ressources vides.

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