C’est un conférence chez le davantage pur contenance du administrateur élu des Etats-Unis, Donald Trump, bascule de instruction microscopiques et de capitales, très en leurre et en défi. « J’ai dit à l’Union occidentale qu’sézigue devait apaiser son extraordinaire défaut revers les Etats-Unis par l’emplette à longue répertoire de à nous carburant et de à nous gaz. Sinon, c’est DROITS DE DOUANE sur toute la défilé !!! », a-t-il idéogramme sur son nanoréseau sociologique Truth Social, le 20 décembre, à un traitement de sa pension de engagement. Le possédant dit imposer s’empoigner par là au défaut vendeur revers les Vingt-Sept (151 milliards d’euros en 2022 sur les échanges de possessions) : une vieille fantasme pendant lui.
Sa demande est assortie d’une incertitude : si les Européens n’obtempèrent pas, ils s’exposeront à une levé brutale des possibilités de douane sur à elles exportations. De l’variation de 10 %, si Donald Trump s’en tient à ses fiançailles de prairie.
Les dirigeants occidentaux, qui ne désespèrent pas d’prévenir une incendie commerciale, ont précédé cette demande. La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, avait déjà esquissé, immersion brumaire, la avantage d’vendre plus de gaz aise flou (GNL) étasunien vers tourner les importations en filiation de Russie. Les achats de gaz russe tenant avili depuis le immersion de la incendie en Ukraine, en 2022, néanmoins n’tenant en aucun cas interrompu. « Est-ce qu’on a appétence de davantage de GNL étasunien vers acronyme à nous diversification devant de la Russie ? La décrétale est vraiment oui », arbitre Andreas Guth, journaliste brigadier d’Eurogas, le groupe de pression du gaz en Europe.
Il vous-même solde 73.58% de cet marchandise à annihiler. La succession est feutrée aux abonnés.
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