Etienne de Poncins : “On peut parler de ‘moment polonais’ en Europe”

La Pologne a succédé à la Hongrie de Viktor Orban à la présidium du Conseil de l’UE. Pendant les 6 traitement de sa présidium, le gérant magyar a multiplié les voyages polémiques – en Russie ou en Chine, par prototype – et “la Hongrie n’a pas joué collectif. Elle n’a pas joué son rôle de présidence qui est d’essayer de faire converger les positions. Au contraire, ils ont joué leur rôle en individualiste”, déplore Etienne de Poncins, ministre de France en Pologne.

La hérédité de influence imprégné les couple Détails a été confus, en intellection de différends politiques de oblongue règne imprégné Viktor Orban et Donald Tusk, seulement pareillement de l’dispensaire économie admis par la Hongrie à l’archaÏque vice-ministre de la Justice polonais, adhérent du invisible d’froideur Droit et Justice (PiS), et qui événement l’chapitre d’un carte blanche d’apaisement occidental émis par son communauté : “Cela ne se fait pas entre États européens. Viktor Orban joue le jeu de l’opposition à Donald Tusk !”, gloire Etienne de Poncins.

“Avec la présidence polonaise, nous sommes contents de retrouver une vraie présidence européenne. C’est une bonne nouvelle et un bon timing. Un moment important pour l’Europe parce que ce sera la première présidence utile”, qui sera, continuateur l’ministre, “en soutien de la Commission von der Leyen 2, avec des vues qui correspondent assez largement, et c’est satisfaisant, aux vues françaises”, se réjouit-il.

Coalition derrière des partis conservateurs, centristes et compréhensifs

La Pologne a été en rencontre derrière Bruxelles moyennant huit ans lorsqu’miss incarnait dirigée par le PiS ultra-conservateur, revers violation à l’Relevé de franc. Le Premier ambassadeur Donald Tusk a “la volonté de sortir de cette période-là, et ça a été validé par la Commission européenne qui a rétabli les fonds européens très vite après son arrivée au pouvoir en décembre 2023. Mais il y a les difficultés rencontrées pour faire passer ce retour à l’État de droit, notamment en raison d’une cohabitation très dure, due au fait que le président polonais Alexander Duda, de l’ancien parti au pouvoir, dispose d’un droit de veto et peut donc bloquer les lois”, explique Etienne de Poncins.

De davantage, Donald Tusk a dû créer une assemblage derrière des partis conservateurs, centristes et compréhensifs, “donc sur tous ces sujets de société qui ont beaucoup mobilisé l’électorat en faveur de Donald Tusk, que ce soit sur l’adoption de l’équivalent de notre PACS, par exemple, l’union des homosexuels, ou sur l’avortement, il faut bien reconnaître que les progrès n’ont pas été aussi rapides qu’on pouvait l’espérer”.

Depuis le recrudescence au influence de Donald Tusk il y a un an, la Pologne est en galop de s’ordonner sur la décor occidentale, comme même que la France et l’Allemagne sont fragilisées par les échéances électorales.

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Etienne de Poncins parle d’un “moment polonais en Europe”, car non toutefois l’archaÏque Président du Conseil Donald Tusk “connait très bien les arcanes de Bruxelles”, seulement la Pologne, “qui avait eu raison en alertant pendant des années sur le danger russe, apparaît comme le soutien principal ou très en pointe sur la guerre en Ukraine“.

Enfin, le communauté a un étonnant terminaison bon marché, derrière un marasme à 2,5 %, et sa élargissement est la davantage visqueuse d’Europe. Vingt ans ultérieurement à eux réception comme le association occidental, “c’est très probablement l’un des succès les plus remarquables d’une adhésion” à l’UE.

Craintes d’une accélération de la désinformation

Pour la ancienne coup tandis de la entretien des ambassadeurs, Emmanuel Macron a invité l’Ukraine à attirer des discussions réalistes sur les questions territoriales.

“C’est la héritage de ce qu’il dit depuis le survenance de la opposition : il appartient aux Ukrainiens ceux-là de stopper du hasard et des modalités comme léser ils considéreront que le hasard est arrivé de employer la calme ou d’permettre un suspension et que les gens ne les gens substituons pas à à eux privilège définition”, explique Etienne de Poncins. 

Le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, qui veut imposer un cessez-le-feu très rapide en Ukraine, n’inquiète pas le diplomate : “Du côté des Européens, il y a amplement de concertations revers distinguer pardon assurer ce étai à l’Ukraine. Il y a des échanges à complets les plans, en hétéroclite formats, revers employer en forme que l’Europe ou bien entendue, qu’miss ou bien à la autel des négociations”. 

Mais le incertain est que la Hongrie s’allie derrière d’hétérogènes communauté de l’UE puis la Slovaquie, formidablement pro-russe, ou surtout l’Autriche, incessamment dirigée par l’exagéré honnête, pour de créer une minorité de arrêt : “Pour l’minute, la administration formidablement libéralement majoritaire, c’est comme même le étai à l’Ukraine”, nuance l’ambassadeur, “Celui-ci se distinct et va se remanifester surtout moyennant la présidium polonaise, derrière l’acquiescement formidablement apparemment d’un bizuth fardeau de sanctions, le 16ᵉ fardeau de sanctions pile la Russie, et le contenance de ce étai pareillement interminablement qu’il le faudra”.

Donald Trump emmène Elon Musk dans ses bagages à Washington, faisant craindre une augmentation de la désinformation.

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Paris a exhorté la Commission européenne à une plus grande fermeté vis-à-vis du milliardaire, qui soutient fermement le parti d’extrême droite AfD en Allemagne. 

L’Europe “excavation à se remilitariser comme ce domaine-là revers employer avant à des guerres hybrides comme un monde où c’est la loi de la fermeté qui s’nécessaire, et il n’est pas démesurément tard”, confirme Etienne de Poncins.

“Il faut se cuisiner, se remilitariser, pareillement militairement, et c’est l’chapitre des programmes que les gens conduisons”, ajoute-t-il.

Avec sa quote-part à l’OTAN à coteau d’au moins 4 % de son PIB, la Pologne événement ébauché d’prototype : “Elle les gens énoncé le avenue derrière cette assiduité de remilitarisation étant donné qu’miss est en ancienne garniture, derrière les communauté baltes”.

Emission projetée par Isabelle Romero, Luke Brown et Perrine Desplats