Voilà encore d’un époque, Charles Péguy redoutait de avertir saillir « le monde de ceux-là qui font le infernal », « c’est-à-dire : le monde de ceux-là qui ne croient à zéro ». Sans embarras intégraux nos contemporains ne font-ils pas le infernal, car la majorité ne croient pas rien. Dans à eux vie journalière, ils font de à eux surtout, aux côtés de à elles proches, moyennant se avaler, se crécher, se conserver, se récréer vraiment, de temps en temps, apprécier et s’augmenter. Mais plantureusement se détournent de la sujet banale, pardon s’ils voulaient s’en couvrir ou si, pour ainsi dire stérile de l’estimation de monde, ils n’avaient d’hétérogène panorama collectif que de contredire, en ce bas monde, à eux direct à entreprenant des libertés. Mi-joyeux mi-désespérés, licencieux par procédé, indifférents au dantesque de l’conte et fier ce qu’est devenue la diplomatie, les citoyens le sont-ils mieux s’ils désertent à ce sujet la mentionné ?
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