Après une brillante cycle en deçà les drapeau du FC Blagnac, le Toulousain a abordé le imaginaire night-club des Girondins de Bordeaux à l’été 2024. Nouvellement, il a condamné une gain importante à la troupe de National 2 en signant son leader but en compétition.
11 janvier 2025, lice Louis-Dior de Granville. Alors qu’ils croyaient travailleur récit le surtout dur absolution à un but à cinq minutes du réussite de l’antédiluvien cosmopolite anglo-saxon et compétiteur de Liverpool Andy Carroll (0-1, 85e), les Girondins de Bordeaux sont repris au marque par un penalty négligeant en baptême du période additif (1-1, 90 + 2). C’est là que Bruno Irles, l’antédiluvien instructeur de Kylian Mbappé à Monaco, donne de sonder Nassim Ranem. “Normalement, je joue défenseur, mais je suis rentré attaquant. Ça a été un coaching gagnant” sourit le Toulousain, promoteur du but de la gain à la 96e express. “Je pense être rentré devant car il fallait de la taille et on devait absolument gagner ce match. J’étais là au bon moment, au bon endroit” raconte modestement le compétiteur de 22 ans, entier en dangereux que ce but, son leader en compétition en même temps que le imaginaire night-club au scapulaire, récit objet des surtout solennels de sa bordure. D’également que celle-là a déjà commun pas mal de rebondissements.
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Car face à d’nature le “héros” des Girondins, le mortification aimable, primordial du faubourg de Bagatelle à Toulouse, a commun de pluraux revers et déceptions. À arriver entre son night-club de cœur, le TFC, qu’il a quitté en U17. “J’étais déboussolé. Je n’avais connu que le TFC, j’y avais fait toute ma formation. J’ai perdu mes repères. Ça a été très difficile, mais je devais vite rebondir” raconte le habitant de la Ville diamant. Colomiers, avec Sassuolo en Italie. “Après Sassuolo, c’était très, très dur. Ça m’a forgé parce que je suis parti très jeune, à 18 ans. Mentalement, je suis sorti grandi de cette expérience-là.” Avant de aventurer l’imprudent à Pau : “J’ai signé avec la réserve, mais j’ai joué 30 minutes sur la saison. Ce n’était pas les blessures, juste les choix du coach. En gros, j’ai fait deux saisons blanches.”
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Le rebondissement à Blagnac
Car si la cycle 2021/2022 n’a pas été pour sportive que organisé, la suivante le fut davantage moins. “Après, j’ai rebondi à Blagnac. On a fait une grosse saison (2023/2024, NDLR), on a terminé deuxième, à deux points de la montée” déroule le bras. Avant, en conséquence, de distraire la Garonne jusqu’en Gironde.
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“J’avais des offres de National 2, mais ça ne m’intéressait pas. Quand Bordeaux m’a appelé, je n’ai pas hésité une seconde. Ils sont en National 2, mais ça reste un très grand club français. Je suis parti saisir ma chance” détaille-t-il. Contacté pile manoeuvrer d’accueil en même temps que la B des Girondins (en National 3, NDLR), le voici désormais éloquent en même temps que la A, en même temps que même “l’ambition de monter”en National. Un amical terme au pupille de son chemin.
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