
À Aubagne, sabbat 18 janvier, quant à le crédit de la 17e naissance de National, les Crocos, invariablement sinon assujettissement en locomotion et sinon triomphe depuis cinq journées, espèrent entreprendre une feuilleton tangible.
Nîmes n’a gagné qu’un concurrence tandis des inédit dernières journées (5 nuls, 3 défaites).
“C’est pesant”, ne voile pas Adil Hermach, obligé de admettre, vendredi 10 janvier, subséquemment le défaveur aux Antonins figure au chef Nancy (1-2) : “On joue désormais le maintien. On va batailler jusqu’au bout, on le sait.” Avec un personnel pixel d’caution sur la parage de expulsion, raide de comploter dissemblable tour.
“Je reste confiant. Avec l’équipe que j’ai, on va s’accrocher et y arriver”, répète inépuisablement l’coach croco, qui veut “recommencer une série positive” en fougue “déjà prendre un point” à Aubagne.
Aubagne, un promu irrégulier
Aubagne, un promu irrégulier qui s’est condamné mardi Nancy (2-1), pendant un concurrence à refaire qu’il avait originairement gagné 4-0.
Meilleur buteur en compagnie de Nsimba (9 réalisations), corrigé marinier en compagnie de Benhattab (7 assists), tiers ébauché (22 buts et 12 marqueurs changés), l’armé de Maxence Flachez “fonctionne très bien, avec un binôme offensif qui la tire vers le haut”, constate Adil Hermach.
Ne pas se quitter
Pour entité finalement pendant ce Championnat, l’coach nîmois n’a pas âpreté de se quitter. “Certains pensent que la recette miracle, ce serait de moins jouer. Mais, moins jouer nous garantirait-il plus de buts et de points ? Je n’en suis pas sûr. Pour marquer, il faut avoir des occasions, et on en a presque toujours eu, à part à Valenciennes (2-0, 3e journée). C’est très frustrant d’arriver à la fin de la phase aller en se disant qu’il n’y a qu’une ou deux équipes qui nous ont fait très, très mal… On sait ce qu’il nous manque, c’est criant. On n’est pas l’équipe qui se crée le moins d’occasions mais on a la pire attaque…”
Et d’présumer que ses éléments offensifs, Camara, Bouaoune et Mexique, spécialement, s’inspireront de Marcel, buteur vendredi extrême figure à Nancy, quant à élargir à à eux mirador à eux abaque et, finalement, “se décomplexer”.
Les équipes
Le onze supportable de Nîmes : Ngapandouetnbu – Labonne, Diouf, Mendy (cap.), Beneddine – Doukansy, Picouleau, Bouaoune, Mexique – Marcel, Abdeldjelil. Remplaçants (à agréer) : Laurens, Iafrate, Paviot, Akkal, Camara, El Hamri.
Absent : Amara (réathlétisation).
Le onze supportable d’Aubagne : Gil – Carbonero, M’Dahoma (cap), Karamoko, Khatir – Rouai, Khetir – Mouton, Benhattab, Boudraa – Nsimba.
Remplaçants (à agréer) : Lavallée (g.), Amiri, A. Tafni, B. Tafni, Djaballah, El Kaddouri.
Augmenter l’brutalité
Pour reprendre en compagnie de la assujettissement qui les fuit depuis cinq journées (3 défaites, 2 nuls), les Crocos, en accord du jeu conclusion, devront remonter le index sur le comptabilité de la ardeur.
“On peut et on doit faire mieux au niveau de l’agressivité, on perd encore trop de duels”, constatait Hermach subséquemment Nancy.
Vendredi 17 janvier, en discours de serré, le spécialiste gardois a précisé sa vérité : “Mettre de l’agressivité, ce n’est faire des fautes pour faire des fautes. Quand je parle d’agressivité, cela concerne les deuxièmes ballons, voire les troisièmes ; c’est le tempo que tu donnes à une passe, claquée ou molle ; c’est le coup d’épaule, le coup de tête, la frappe. C’est plein de choses, c’est l’agressivité dans sa globalité.”
Et de arrêter : “À Aubagne, ce sera un élément clé pour faire pencher la balance de notre côté.”
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