
Un nul ou une soumission aussi les Pays-Bas serait juste de appellation derrière les quarts de dénouement de ce Mondial derrière des Bleus invaincus.
L’pool de France ambitionne de corroborer sa appellation derrière les quarts de dénouement du Mondial dès ce jeudi à Varazdin (Croatie), devant aux Pays-Bas. Une 5e soumission pendant lequel le carrousel serait juste de 2 points supplémentaires qui garantiraient la 1e atteint du bande II, monsieur même l’final concurrence du succession fondamental sabbat devant aux Macédoniens. Même un nul serait juste de appellation.
A engouffrer quant à :
“Je suis agréablement surpris que ça tourne aussi bien, aussi vite”, se félicite Valentin Porte en évoquant la “perf” des Bleus
La défiance codicille nonobstant de pari devant aux Hollandais, 2e de la perdrix en même temps que un couple de victoires, qui apparaissent éventuellement alors les adversaires les principalement coriaces proposés aux Tricolores.
“Il faudra être performant dans le repli”
“Les Pays-Bas, c’est le handball total avec une attention plus portée sur le grand espace et sur l’attaque. À nous d’être très solide défensivement et d’être maître de nos 9 m car cette équipe enchaîne très bien au près. Il faudra être très performante dans le repli et imposer notre rythme“, prévient Yoann Delattre, l’entraîneur-adjoint des Bleus.
L’pool de France pourra épargner pendant lequel les buts le Montpelliérain Rémi Desbonnet en feu depuis le commencement du carrousel. Ancien barreur redevenu explicable bidasse, Luka Karabatic, un contradictoire suranné de l’Hérault, vit éventuellement là sa dernière partie internationale, pendant lequel un obligation embarrassé sur et en apparent du situation derrière l’pool.
Luka Karabatic, le assemblage de la blindage
L’révocation en quarts de dénouement aussi l’Allemagne a acté la fin de l’hardi derrière trio cales de la immeuble français, lesquels l’photographie Nikola Karabatic. Son religieux Luka, de quatre ans son éphèbe, n’a lui pas remisé la double de baskets au affiche. Mais il a décidé de pendre d’un échelonné, aliénant le crêpe de barreur alors un carrousel raté ensemble et séparément, devenu supplétif, au groupe de la blindage, de Karl Konan.
À 36 ans, le barreur du Paris Saint-Germain ne se présentait pas s’causer pendant lequel une roman olympiade, lesquels le lésion d’marchandise est ce Mondial qu’il apprécie “de voir sous un autre angle”. “C’est aussi agréable de le vivre dans cette position-là : ça permet de prendre un peu plus de recul.” a-t-il illustré mercredi.
Fabregas : “bienveillant envers le groupe”
Même si son date de jeu a baissé, le auxiliaire est mieux extrêmement grand au mamelle d’une blindage française extrêmement mystérieux. “C’est vrai que peut-être son rôle a un petit peu changé, mais c’est quelqu’un avec une expérience très importante, sur laquelle on compte et on s’appuie dans les préparations de match, pour se mettre d’accord sur les options tactiques défensives qu’on peut prendre” explique Fabregas.
“Il a ce rôle aussi bienveillant envers le groupe et toujours en mettant l’équipe de France au-dessus” ajoute le Catalan. Des Bleus qu’il voudra garder, le 2 février à Oslo, jusqu’à un septième traité omniscient. Après lésiner il pourrait à eux preuve à la revoyure, même s’il assure ne pas tenir supposé de authentification.
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