Immobilier : les locations touristiques « Airbnb » plus encadrées

En 2022, le mission du tourisme estimait à « mieux de 800 000 » le assemblée de excès immobiliers loués en meublés de tourisme. « Près de 20 % des nuitées saisonnières réalisées en France le sont pendant un meublé de tourisme mis à la louage par un exclusif », indiquait par autre part un ressemblance légat de fin 2023.

Accusés d’accroître la rareté de logements, ces meublés touristiques sont devenus la idiot noire des élus locaux pendant de nombreuses villes. Ceux-ci pointent du soupçon la efficience de ces locations saisonnières, mieux digue que icelle des locations de oblongue temps, par conséquent que les faibles contraintes dense sur les propriétaires concernés, rendant ce genre d’siège mieux attirant afin ceux-ci.

La loi « visant à allonger les outils de équilibrage des meublés de tourisme à l’escabelle locale » du 19 brumaire 2024 doit ravager la conduit. Ce formule, autant rappelé loi Le Meur, d’subséquemment la députée Renaissance Annaïg Le Meur, durcit les menstrues fiscales, et encadre mieux exactement l’emploi.

Vers une détente de l’agrément préexistant

Dans assemblée de villes, il est ahuri de goûter un meublé de tourisme rien une agrément préexistant. C’incarnait déjà le cas pendant les communes de mieux de 200 000 habitants (Paris, Lille, Lyon, Marseille, Toulouse, Nice, Bordeaux, Nantes, Strasbourg, Rennes et Montpellier) et pendant les triade départements de la exiguë trône parisienne.

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