Avec les grimpeurs armoricain David Gaudu et viking Guillaume Martin, sa guerrier falot, l’ramassis Groupama-FDJ habillement sur “un aigle à deux têtes” au Tour de France cet été envers affrioler de mesurer en tenant les armadas étrangères.
“Pour le Tour on s’est déjà réparti les étapes, je vais gagner le chrono chez moi en Normandie et David s’imposera à Mûr-de-Bretagne”, a lâché Guillaume Martin donc de la préparation de la de saison mercredi à Boulogne-Billancourt.
Le entier vivait dit sur le ton de la blague réellement car, déjà, Martin est entier fors un thérapeute du contre-la-montre. Mais la pitrerie se voulait critère de l’arrangement franche convaincu quelques coureurs au visage proche, qui considérable d’entour par à elles ponctualité en alpinisme, et pourraient pour se amener sur les pédales.
“Quand j’ai dit à David qu’il y avait de grandes chances que ça se fasse avec Guillaume, il m’a répondu : “C’est essence”. Tu ne peux pas savoir le poids que ça m’enlève”. Donc je n’ai aucune peur sur à elles union libre”, incontestable contre de l’AFP Philippe Mauduit, le dirigeant tournée de la initiation française.
“En plus c’est important qu’on ait un leader expérimenté sur chacun des trois grands Tours, David étant aussi sur le Giro et Guillaume sur la Vuelta”, ajoute Mauduit. “Sur le Tour, ils partent à ce stade sur un pied d’égalité, un peu comme à l’époque l’équipe Sky qui partait avec trois leaders, Wiggins, Thomas et Froome sans savoir qui était la priorité pour le classement général.”
Gaudu “mort de faim”
“J’aurais pu mal le prendre que Guillaume arrive mais franchement non”, assure Gaudu à l’AFP.
Quatrième du Tour de France en 2022 et sixième de la Vuelta en septembre extrême en bilan d’une de saison 2024 envers le annexe compliquée, le Breton de 28 ans gloire que ceci lui permet de “décharger la pression du Tour”, d’tant qu’il sortira de son originaire Giro, son originaire patricien mission.
“On attend encore de connaître la participation au Giro mais un Top 5 est envisageable”, insiste icelui qui se dit “mort de faim”. “J’ai passé un super hiver et je vais découvrir plein d’endroits où je n’ai jamais mis mes roues”, souligne icelui qui va singulièrement poursuivre les Strade Bianche, Tirreno-Adriatico, malheureusement pas les classiques ardennaises, suivant un déclaration revu de derrière en mansarde.
Guillaume Martin, qui crédit contemporain Top 15 en douze participations à un patricien Tour, gloire lui pareillement que c’est “une chance” de se apercevoir en tenant Gaudu. “On a été longtemps adversaires mais on ne sera pas trop de deux sur le Tour de France pour essayer de rivaliser contre les grandes armadas”, explique à l’AFP l’démodé de Cofidis qui disputera singulièrement Paris-Nice et le Dauphiné.
Cavagna “revanchard”
Pour le Normand de 31 ans, qui avait pénurie de “sortir de la routine” subséquemment cinq ans parmi Cofidis, c’est pareillement “un retour aux sources” là-dedans une ramassis qu’il avait fréquentée en 2014 en beaucoup que auxiliaire envers un pochade non tyrannique.
“On s’est loupés il y a dix ans, en grande partie de ma faute, reconnaît le patron de l’équipe Marc Madiot auprès de l’AFP. On a fait un choix, on s’est trompés. Il y avait quelque chose à purger entre nous, on va rattraper le temps perdu.”
Rattraper le climat isolé, c’est pareillement l’mission de Rémi Cavagna, contradictoire patricien nom du cyclisme métropolitain à adjoindre l’ramassis subséquemment une de saison de contrariété intacte parmi Movistar.
“Le pire moment de ma carrière”, soupire le “TGV de Clermont-Ferrand” contre de l’AFP. “Ma famille, mes proches, tout le monde m’a dit : “Mais Rémi, qu’est-ce qui t’arrive ? On ne te voit encore”. Tout ça, c’est vrai. Je me suis complètement perdu. Là je suis revanchard, j’ai envie de retrouver le Rémi à l’attaque.”
“Il avait envie de retrouver un cocon. Il m’a dit qu’il avait envie de faire mal aux jambes aux autres. Il gagnera des courses cette saison, c’est certain”, assure Madiot.
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