“Je me mets en retrait de mes activités politiques et publiques” : Arnaud Bord, élu à Alès, tourne une feuillet de son réalité

Contacté en fin de jour de ce sabbat 11 janvier, l’élu d’Alès explique que cette ténacité est “mûrement réfléchie” et qu’il ne démissionnera pas de ses procurations en catégorie.

Le socialiste gardois Arnaud Bord, élu d’antagonisme à Alès au giron du entretien communal dessous la emblème du “Printemps alésien”, déclenche un beigne de tempête en livrant, pour la jour de ce sabbat 11 janvier, puis garder évidemment lucide ses proches par SMS la surveillé au brunante, un ticket marquant qu’il se mettait au saumâtre. Après garder présenté ses vœux envers cette dépêche cycle par graphisme, il déclare derechef : “Je tiens à vous informer que je me mets en retrait des mes activités politiques et publiques.”

Il indique puis que “l’engagement politique est un engagement intense lorsqu’on le fait avec passion, détermination et conviction comme j’ai pu le faire” et qu’“après vingt ans de syndicalisme, quatorze ans au conseil des Prud’hommes, dix ans de militantisme politique, (il ressent) le besoin profond de redonner du sens à mon action quotidienne dans ma vie professionnelle et personnelle”.

“Le spectacle est affligeant tant nationalement que localement”

L’Alésien, qui travaille ce jour à la municipalité de Vauvert, se développé cash :“Les dernières échéances politiques et l’actualité de ces dernières semaines ont marqué pour moi un réel virage. Le spectacle est affligeant tant nationalement que localement et si éloigné des raisons qui ont construit mon engagement. Beaucoup se battent pour des carrières pour des hommes et des femmes, et non plus pour des idées. Ce n’est pas ma conception. Jamais, après toutes ces années de combat et d’engagement je n’avais ressenti autant de haine, de violence, de rejet pour des opinions politiques. Jamais je n’avais ressenti autant de clivages dans notre société qui au contraire dans les moments difficiles devrait faire nation.”

“Je reste profondément socialiste, humaniste, laïque, pacifiste et féministe”

Pour aussi, Arnaud Bord concède garder “foi en la réaction de notre beau peuple français, mais il est temps pour (lui) de prendre une respiration, (se) sortir de la spirale frénétique d’une politique qui a perdu toutes ses boussoles et ses repères”. Il ajoute : “Je ne sais de quoi demain sera fait mais je reste profondément socialiste, humaniste, laïque, pacifiste et féministe.”

Lui qui redit qu’il va se “consacrer pleinement à (sa) vie personnelle et professionnelle, qui a longtemps souffert de (son) engagement politique” conclut : “Je ne serai donc pas candidat aux prochaines élections municipales d’Alès, ni même aux prochaines échéances de mon parti.” Même s’il dit qu’il “reste un militant socialiste, attentif et avisé mais avec une prise de recul nécessaire.”

Il ne démissionnera pas de ses procurations

Contacté en fin de jour, Arnaud Bord explique que cette ténacité est “mûrement réfléchie”, que “la trêve des confiseurs (lui) a permis de (se) retrouver tranquille”. Ce régression qu’il renseigné, celui-là qui est aujourd’hui élu d’Alès et inspirer collectif d’Alès Agglomération spécifié qu’il n’est pas sédentaire : “Je ne mets pas fin à une carrière politique, comme certains ont pu le dire précédemment”. De même, il spécifié qu’il ne démissionnera pas de ses procurations. Il restera en forteresse endéans l’cycle et demie qu’il lui appoint à poser, pourtant il “ne (sera) pas actif et (n’entrera) pas dans la bataille des municipales”.

Pour énoncé, Arnaud Bord a été respirant définitif tandis des double dernières élections législatives sur la 4e arrondissement du Gard, dominé à quelque jour par Pierre Meurin, le commerçant du Rassemblement ressortissant.

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