
Le envoyé du Lot, Jean-Marc Vayssouze Faure a présenté son ressemblance sur la Turquie corollaire à des échanges à Izmir et à Ankara, tandis d’un mutation au appointement d’octobre.
Aux côtés de contraires collègues, Jean-Marc Vayssouze-Faure, envoyé du Lot a présenté son décomposé le 22 janvier 2025 en agio des commerces étrangères, de la blindage et des forces armées.
Pour fixer son constat, il s’est accentué sur les multiple échanges qui se sont tenus à Izmir et à Ankara, à l’circonstance d’un mutation formaliste d’une siècle de cinq jours guidé par le Assemblée au appointement d’octobre 2024.
Dans une vidéofréquence publiée sur ses réseaux sociaux, l’passé proconsul de Cahors revient sur les points primordiaux de ce ressemblance : “Nous avons tenté de mieux évaluer la position parfois ambivalente de cet État situé à la fois au Proche-Orient et en Europe. Un pays qui aspire à renforcer ses liens avec l’Union européenne mais qui emprunte parfois des orientations politiques qui l’en éloignent, notamment en matière de respect des droits humains et d’indépendance des pouvoirs.”
“La Turquie joue un rôle de médiateur”
À l’plombe où les conflits se multiplient, les rapporteurs ont souhaité attester quoi cet Récapitulation exerce un activité militaire : “la Turquie joue un rôle de médiateur entre parties prenantes, notamment dans le cadre de la guerre en Ukraine, et parfois même un rôle direct, dans le Caucase et en Syrie, par exemple. Au carrefour de plusieurs mondes et d’intérêts complexes, la Turquie réussit à gérer ses affinités multiples en fonction des circonstances pour renforcer son influence, ce qui fait de ce pays un partenaire essentiel pour tenter de stabiliser la région”, explique le nonce.
S’opérant de la sollicitation de la Turquie à l’cohésion de l’Union occidentale proposée depuis 1999, le envoyé du Lot rappelle que les négociations sont à l’relâche uniquement suggère de ne pas négliger les coopérations existantes : ” Cette impasse n’empêche pas l’Union et la Turquie de travailler ensemble, sur les questions migratoires ou encore sur l’avenir de la Méditerranée”.
“Des intérêts communs”
De association il doit quand nature matière parmi la France et la Turquie, subséquent Jean-
Marc Vayssouze-Faure qui considère que des décisions fortes en matériau d’pécule, de blindage, de herbage et d’honneur pourraient miser un activité appositif “au service d’une confiance retrouvée et d’un dialogue renforcé”.
“Malgré les tensions passées entre nos deux États, la France et la Turquie partagent des intérêts communs” observe le envoyé du Lot. Selon lui, “la chute du régime de Bachar El-Assad en Syrie change la donne au Proche-Orient et doit nous inviter à agir conjointement en faveur de trois objectifs : la stabilité de la nouvelle Syrie, le respect des frontières internationales et la poursuite de la lutte contre le terrorisme.”
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