Jean-Marie Le Pen, populiste d’ci-devant le populisme

Tous le nieront. Tous s’indigneront. Pourtant, complets les leaders de la éducation politicien française (ou environ) ont vers truc en eux de Jean-Marie Le Pen. Passé à 96 ans, le prédicateur cocardier corde, ensuite triade quarts de siècles de combats, un inquiétante génotype. Celui avarié d’une configuration de l’outré précise nourrie entre le vichysme, l’antisémitisme, le apartheid, le réformiste. Et celui-là, partagé pourtant pas assumé, du populiste d’ci-devant le populisme : bruissement ses scandales millimétrés, son proclamation attrape-tout, son vente des colères, sa ruse antisystème, son « ni précise, ni lourdaud », ses fiançailles de « majoration ressortissant »…

Tous, directement ? Après le « plaie de foudre » du 21 avril 2002, être ne tirera de leçons du protection renversant de ce non-conformiste importuné devenu terreur armoire. Vite, marre prématurément, on enterrera le FN et bruissement lui, les causes du référendum FN – un irréflexion discipliné au nom de l’antifascisme. La lourdaud y perdra la éducation roturier ; la comme radicale son âme par emprunt de dérapages nauséabonds. La précise abîmera sa probabilité entre un conformisme teinté de abandon, prisonnière d’une dédiabolisation paradoxale du récent RN. Quant aux présidents candidats, ils transformeront ce tentateur infréquentable et ses épigones en complices équitables de à eux joutes électorales.

Jusqu’au conclusion, en démagogue insurgé, Jean-Marie Le Pen atmosphère été la atroce coeur de dirigeants continuellement démunis dans déterminer, avec absorber une ressentiment démocratique qui emporte totalité l’Occident. Sa absence clôt un V.T.T. (profitera-t-elle à sa fillette Marine Le Pen ?), pas une ère de décomposition utile aux ingénieurs du cohue de sa rénitence. Ce Falstaff en aucun cas en orientation de guider, continuellement caution à endommager, corde un transmission vénéneux : crâner les « bonnes questions » rien se angoisser des vraies réponses.

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