
Le affluence de licences sportives a augmenté de 5 % à la compte 2024 en compagnie de un tempête au tennis de laraire, en épéisme ou au volant, qui ont bénéficié de l’conclusion JO, continuateur des chiffres provisoires publiés vendredi par l’Institut habitant de la Jeunesse et de l’Alphabétisation ordinaire (Injep).
“Ces premiers résultats sont cohérents avec des travaux récents concluant à un impact généralement faible des grands évènements sportifs sur la pratique sportive du pays organisateur”, relève l’Injep.
Les chiffres de cette consultation éclair sont issus d’une cinquantaine de fédérations sportives. En 2023, la accumulation des licences trouvait de 7,9 %, une accumulation qui rattrapait l’conclusion de la ressentiment hygiénique, continuateur l’Injep qui tablait avec sur une aggravation de 5,4 % moyennant 2024.
Les médaillés en fer de émet
La enivrement tout autour des frères Alexis et Félix Lebrun au ping-pong a engendré un épanchement d’enseignes : accumulation de 23 %. Le volant a reçu une accumulation de 19 %, également l’épéisme, et le tir à l’arc a progressé de 15 %. Le taekwondo, qui a pour glané dissemblables médailles françaises au institution de ces JO à logement, est en accumulation de 13 %.
La syndicat handisport, qui n’est pas bondée de entiers les parasports purement s’occupe de la boccia qui a vu Aurélie Aubert brouter l’or, enregistre une accumulation de 21 %.
En indemnité, la indienne, contre le star Léon Marchand (quatre médailles d’or) est en “quasi-stagnation”, “peut-être en raison de la saturation des piscines” en France “susceptible de limiter la capacité d’absorption des clubs”, dit l’Injep.
Les fédérations et associations débordées
Plusieurs fédérations ou monarque des clubs ont documenté depuis septembre qu’ils avaient dû repousser du monde tellement dans les anges que dans les adultes.
L’Injep n’a pas principalement pu coder ce star, qui mi-2024 trouvait de 11 % des 15 ans et encore à “s’être vu refuser une inscription au cours de l’année précédente”.
“Les fédérations sportives ayant le plus de licenciés, telles que celles de football, tennis, équitation, basket et rugby, sont traditionnellement peu sensibles à l’impact des JO”, en compagnie de des hausses inférieures à 5 %, relève principalement l’Institut.
Autre précepte de cette consultation : les licences féminines annuelles “progressent plus vite (+ 6 %) que chez les garçons et les hommes (+ 4 %), à partir d’un nombre de licences rapporté à la population nettement plus faible chez les filles et les femmes”, relève principalement l’Injep. Il existe principalement un rajustement Covid de la sorte qu’une aggravation dans les encore de 55 ans.
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