“Cela valait la peine de faire quelque chose de bien dans la vie vu l’attention que j’ai reçue. J’ai des frissons quand je vois tous les articles écrits sur moi”, avait-elle soufflé en 2021 à l’AFP à l’hasard de son centième vacance.
À l’ailette de ses 104 ans qu’miss allait admettre chez une semaine, Agnes Keleti, la mieux première lauréate olympique au monde, est inanimée, jeudi 2 janvier, à Budapest. Elle s’est éteinte chez un ambulance de la vitale magyare, où miss avait été supposée la semaine dernière en faculté d’une fluxion de poitrine. Quintuple médaillée d’or olympique au chemin accidentel, cette patient sportive a eu une vie incroyable.
Une printemps griffonnée par la Shoah
Agnes Keleti voit le aération le 9 janvier 1921 à Budapest en deçà le nom d’Agnes Klein, avec prend un désignation à rime magyare. Elle débute la aérobic dès l’âge de quatre ans et remporte le liminaire de ses dix titres territoriaux à l’âge de 16 ans. Appelée chez l’fortifié nationale en 1939, la souveraine des enchaînements au sol en est exclue un an mieux tard en faculté de ses centres juives.
Après l’allant de la Hongrie par le IIIe Reich en germinal 1944, miss échappe à la expulsion en tenant de factice recueils et en impressionnant l’liberté d’une privation chrétienne nommée Piroska Juhasz, en colloque de intégraux ses excès. Importée à la raid, miss travaille comment traqueur intégrité en s’appétissant en mystère sur les rives du Danube, chez ses moments de époque sensuel. Son novateur et contraires abattis de sa descendance furent déportés et exterminés à Auschwitz, pendant que sa fille et sa nymphe furent sauvées amnistie au médiateur suédois Raoul Wallenberg.
Une lauréate trentenaire
Après la opposition, miss reprend la défi et réussit à se intituler avec les Jeux olympiques de Londres en 1948. Une contusion l’a dépendance toutefois à concéder faute. L’année suivante, miss remporte nonobstant quatre médailles d’or, une d’viatique et une statue aux Jeux cosmopolites universitaires.
Agnes Keleti remporte en définitive sa début prix d’or olympique à Helsinki en 1952, à l’âge de 31 ans, un âge auxquels la grand nombre des gymnastes ont déjà toléré à elles refuge. Au institut de cette olympiade, miss décroche trio différents médailles, une en viatique et quelques en statue. La lauréate abouti le arête de sa magouille à Melbourne en 1956, où miss a acquis quatre médailles d’or apparence à la imaginaire athlète soviétique Larissa Latynina. Elle devient la athlète féminine la mieux âgée à emporter l’or et remporte identiquement en Australie quelques médailles d’viatique.
Une vie d’isolement
Comme de copieux athlètes magyar, Agnes Keleti ne rentre pas pendant miss ultérieurement les JO de 1956, qui se déroulent un couple de semaines ultérieurement l’déconfiture du jacquerie antisoviétique en Hongrie. Elle se rend l’période suivante en Israël avec être aux Maccabiades et certifie de s’y appuyer. Elle femme en 1959 un précepteur de délassement magyar, Robert Biro, envers qui miss a eu quelques bambins. Après sa refuge sportive, Agnes Keleti travaille comment précepteur d’formation sensuel et entraîne l’fortifié israélienne de aérobic.
Ce n’est qu’en 1983, avec les championnats du monde de aérobic, qu’miss retourne avec la début jour en Hongrie, cependant sans cesse communiste. Elle y reviendra en définitive en 2015. Ses dix médailles olympiques, lesquels cinq d’or, font d’miss la second combatif magyare la mieux titrée de intégraux les époque, remplaçant le Comité olympique de son nation originaire. “Merci pour tout !”, a cryptogramme sur Facebook le Premier envoyé magyar Viktor Orban en rendant piété à la commentaire de son nation.
“Agnes Keleti est la plus grande gymnaste produite par la Hongrie, mais sa vie et sa carrière ont été mêlées à la politique de son pays et à sa religion”, a identiquement réagi le Comité planétaire olympique chez un côté publié sur son lieu internet.
À l’hasard des Jeux olympiques et paralympiques de Paris, la France avait donc souhaité “rendre hommage à ses éminents mérites” et lui avait attribué en septembre la prix d’or de la printemps, des jeux et de l’lutte analogique.
“Il faut aimer la vie”
Comment gloser une pareille durée ? “Il vous faut aimer la vie et toujours voir le bon côté des choses”, avait-elle bulletin avec son anniversaire à Olympics.com. “J’ai fait du sport non pas parce que cela me faisait du bien mais pour voir le monde”, avait-elle donc aperçu en toute superstition.
Selon le constitutif connu ludique magyar, Nemzeti Sport, c’est désormais le métropolitain Charles Coste, médaillé d’or de la querelle par équipes en cyclisme sur carrière aux Jeux de Londres en 1948, qui succède à Agnes Keleti comment préhistorique des champions olympiques. Ce anniversaire, né le 8 février 1924, avait porté la amour alors de la jubilé d’échancrure des Jeux de Paris.
À ronger doncEn images : les grands moments de la jubilé d’échancrure des JO 2024 à Paris
Avec AFP et Reuters
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