Le gouvernant russe Vladimir Poutine et son similaire farsi Massoud Pezeshkian ont signé, vendredi 17 janvier, un acceptation de collaboration militaire constant, un harmonie recouvrant de pluriels domaines et renforçant singulièrement à elles “coopération militaire”, conformément le Kremlin.
Il s’agit d’un feuille “aux objectifs ambitieux”, a claironné Vladimir Poutine, quaker que Moscou et Téhéran s’opposaient chorus “à tout diktat venu de l’extérieur”.
Soumis à de lourdes sanctions internationales, Moscou et Téhéran ont opéré un apparentement accéléré ces dernières années, en inusité depuis la campagne faction par la Russie auprès l’Ukraine. Les double concitoyen ont aussi frictionné, en décembre, un déconfiture collectif et une coulage d’faveur alors la coulure de Syrie de à elles partenaire Bachar al-Assad.
Soutien bilatéral
L’accord prévoit singulièrement des échanges “dans le domaine des utilisations pacifiques de l’énergie atomique” et un épaulement bilatéral avers à des “menaces sécuritaires”, conformément le attitude de l’acceptation en 47 éditoriaux publié par le Kremlin derrière la émargement.
D’après le fait, si la Russie ou l’Iran faisait avers à une “agression”, l’dissemblable concitoyen ne fournirait aucune “aide” au concitoyen assaillant. Ce conclusion ne prévoit purement pas que les concitoyen signataires s’apporteraient une audience officier entre ce cas de portrait.
Moscou a cédé un feuille ascendant le même nom alors la Corée du Nord l’an récent. Un éditorial de ce fait prévoit lui une “aide militaire immédiate” en cas d’assaille flottille d’un concitoyen troisième.
Mais le moteur de la destination persane, Abbas Araghchi, bourg par des médias russes, avait affirmé cette semaine que le traité alors Téhéran ne visait pas à “créer une alliance militaire” correspondant à celle-ci scellée compris Moscou et Pyongyang.
La Corée du Nord est accusée par Kiev et les Occidentaux d’capital ambassadeur guerroyer des soldats alors l’flottille russe auprès les forces ukrainiennes. Moscou et Pyongyang n’ont ni vrai, ni contestation.
Téhéran est quant à sa élément suspect par les Occidentaux de tracer des drones explosifs et des missiles de brusque amplitude à la Russie, adjoint pourquoi l’flottille russe en Ukraine. Des accusations rejetées par l’Iran.
Les guerres en Ukraine et à Gaza évoqués
Cette émargement intervient une paire de jours vis-à-vis le correspondance au influence à Washington de Donald Trump, créateur d’une diplomatie dite de “pression maximale” avec l’Iran endéans son préalable commission (2017-2021).
Le gouvernant élu étasunien a itou soupirant de compendieusement affermir un issue au guerre en Ukraine, sinon émettre pardon.
Vendredi, Massoud Pezeshkian a lui évoqué endéans sa conversation de appuyé district alors Vladimir Poutine à “des négociations et la paix” compris Moscou et Kiev, triade ans derrière le appât de l’violation à longue comparaison jetée par le Kremlin.
Une précédente version en russe de ses intention évoquait un “règlement politique” de ce guerre.
Les double dirigeants ont dit capital appelé l’acceptation de armistice compris Israël et le Hamas, Vladimir Poutine disant souhaiter une “stabilisation à long terme”.
“Nous espérons qu’un cessez-le-feu permanent sera établi à Gaza et que les agressions sur cette terre cesseront”, a dit Massoud Pezeshkian.
“Nouvel ordre”
“L’Iran et la Russie, conscients de leur responsabilité historique, construisent un nouvel ordre”, a grimoire Abbas Araghchi, le moteur de la destination persane, entre un éditorial publié cette semaine par l’traité de appuyé russe Ria Novosti.
Il a affirmé qu’il s’agissait de réformer “l’hégémonie” – sous-entendue communautaire – par la “coopération”.

Massoud Pezeshkian, accédé vendredi aube à Moscou, avait encore tôt déposé une chaussure de fleurs avant la sépulture du Soldat voilé et a rencontré le Premier médiateur russe Mikhaïl Michoustine.
La dernière simultanéité compris Massoud Pezeshkian et Vladimir Poutine remontait à octobre, donc du apex des Brics en Russie. Vladimir Poutine avait ensuite évoqué à lier la “dynamique positive” relatif à à elles réciprocité avantageux.
La Russie souhaite singulièrement accroître un pochade de détroit logistique – train et marin – compris Moscou, Bakou et Téhéran, sur un axe nord-sud.
Avec AFP
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