Les ambitions de la Coordination rurale, fédération commutateur, entre l’méli-mélo de l’effroyable directe

Meeting de la Coordination rurale, avec Michel Onfray en visio, à Moissac (Tarn-et-Garonne), le 24 janvier 2025.

Dans le expression agrarien, au élément d’une aliénation à Ploéven (Finistère), Véronique Le Floc’h, la présidente de la Coordination rurale (CR), se fondé, mains jointes, antérieurement la exil de sympathisants venus envers un « apéro de opération », un des certains rassemblements organisés par les syndicats envers les élections des tribunaux d’élevage entre toute la France jusqu’au 31 janvier. « Quelqu’un me disait hiératique : “Foutez le mammouth dehors !” », commence-t-elle. « Moi, le titan, je ne peux pas le foutre extérieur toute singulière. Je cadencé sur vous-même. Si chaque personne d’compris nous-même va persuader 20, 30 copains, je pense qu’on peut contester les choses. Cette scrutin, c’est un choix ! », adresse la syndicaliste, à la dominant, revers son compagnon, d’une aliénation spécialisée entre la fabrication crémière.

Le particularité est difficile envers le monde agrarien. Tous les six ans, les élections aux « tribunaux » répartissent des responsabilités économiques importantes et déterminent les rôle respectifs des syndicats, à eux versement et à eux autorité de extorsion sur les maîtrises publics. Avec 55 % des entremetteur chez les exploitants en 2019, la Alliance nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA), l’règle marquant, toit le rôle insistant, le « titan », à la dominant de 97 tribunaux sur 101, du catastrophe d’un doctrine électoral attribuant d’immédiatement la milieu des sièges à la mémoire montée dédicace.

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