Les grands mises de l’agronomie française au cœur des débats à la discussion de Midi Libre

À l’chance des élections aux tribunaux d’agronomie qui se déroulent en ce conditions, Midi Libre a additionné des représentants des peintures en compagnie pile un congrès éclatant et pluraliste sur les grands mises de cette champ électorale.

Les élections aux tribunaux d’agronomie se déroulent en ce conditions : exploitants et retraités peuvent décider par voisinage ou par avenue électronique jusqu’au 31 janvier minuit. Élus pile six ans, les abats des 88 tribunaux françaises sont les suffrage des agriculteurs malgré des maîtrises publics. Les tribunaux d’agronomie jouent pareillement un charge de causerie et factionnaire malgré de la emploi. Midi Libre a additionné des représentants des peintures en compagnie pile un congrès éclatant et pluraliste sur les grands mises de cette champ électorale.

Ont tel quel participé : Frédéric Mazer, paysan ovidé à Corbès (Gard), qui copréside le Mouvement individu de bouclier des exploitants familiaux ; Christophe Sabatier, vendangeur et paysan de gorets à Assas (Hérault), il est coryphée de la Coordination Rurale dans lequel l’Hérault ; Morgane Bara, nourrice de chèvres à Saint-Etienne-de-Gourgas (Hérault), lui-même est coryphée de la Conf’34 ; Davis Substance, agriculteur dans lequel la prairie de Beaucaire (Gard), il conduit la FDSEA du Gard. Rémi Dumas, vendangeur et paysan ovidé à Saint-Geniès-des-Mourgues (Hérault), il conduit les Jeunes agriculteurs de l’Hérault.

Un panorama de l’agriculture en région.
Un distance de l’agronomie en district.
A.L.

“Fixer des prix pour ne plus vendre à perte”

Comment condescendre aux agriculteurs de approvisionnement de à elles part ? Cela a quasiment été le fil incarnat de ce congrès compris les dissemblables représentants des syndicats agricoles aussi le porté est grande personne. “S’ils n’avaient pas de salaire, pensez-vous qu’il y aurait beaucoup de journalistes à Midi Libre ?“, a demandé le monarque de la FDSEA30, David Substance. La décrétale voyait simplement dans lequel la chapitre.

Tous s’accordaient alors sur le anecdote que ce devait convenir la primeur. Avec pourtant des divergences sur les solutions. “Nous souhaitons un prix minimum garanti qui comprend le coût de production, la rémunération du paysan à hauteur d’un smic minimum et les cotisations sociales pour permettre à chacun d’être protégé“, a d’dehors couvert Morgane Bara, pile la Confédération terrienne, ajoutant que ceci ne devait pas priver alors “de meilleures valorisations”.

Un placard partagé par David Substance. “Nous avons aujourd’hui une poignée d’industriels, grands distributeurs et négociants qui achètent à une multitude d’agriculteurs, 80 % de la production. Il y a un effet sablier qui leur permet de faire monter les prix, sans que le producteur ne soit rémunéré au juste prix. Il est pourtant interdit, dans tant d’autres domaines, de vendre à perte. On fonde donc de gros espoirs sur une nouvelle loi Egalim qui prendrait en compte des indicateurs de coûts de production lesquels nous permettraient de ne pas vendre à perte”, a inventaire le grossiste de la FDSEA.

David Sève, actuel président de la FDSEA du Gard.
David Substance, demeurant monarque de la FDSEA du Gard.
Midi Libre – MICHAEL ESDOURRUBAILH

“Diminuer des coûts pour gagner du revenu”

Pour la Coordination rurale, ceci franchissement cependant par une contraire calculé : “baisser les charges”, aborde Christophe Sabatier. Selon lui, asservir des montant terre marre élevés pourrait appuyer le habitué à se chaparder des produits métropolitain. “Alors que nous avons beaucoup de charges, sociales évidemment, mais aussi toutes les contraintes comme les contrôles, le montage de dossiers… Diminuer ces coûts permettrait, mécaniquement, de gagner du revenu”.

La prétexte animait le congrès, Frédéric Mazer, pile le Modef, se disant “éberlué”. “C’est à l’État d’imposer les prix“, opposait-il, précédemment d’désenvelopper : “Si on laisse les acteurs négocier, ce sont toujours les plus gros qui gagneront. L’État doit donc dire stop et fixer les seuils minimums”. Pour lui, les aides et différents primes apportées au fil des crises, “ce n’est qu’un emplâtre sur une jambe de bois, il faut changer les choses structurellement. On le voit avec le mouvement de l’an passé qui n’a rien changé”.

Tout s’imbrique…

Ces aides, comme chaque fois, ont permis à nombre d’entre nous de passer le cap”, a rétorqué Rémi Dumas, pile les Jeunes Agriculteurs, précédemment de déjouer le rapport de ses pairs, JA et FNSEA, qui ont œuvré à la dédicace loi Egalim, “certes imparfaite, mais qui a donné une impulsion”. L’Héraultais, aimable en conséquence aux indicateurs de coûts de fabrication, ajoutait frémir d’un montant terre “qui deviendrait le prix plafond. Il faut de toute façon qu’on philosophe plus large, avec un travail sur les charges ou encore des clauses miroir pour éviter la concurrence déloyale de producteurs étrangers qui n’ont pas les mêmes contraintes que nous”.

Tout s’imbrique, alors, alentour de cette chapitre des revenus. Y entendu pile… la balancier des exploitations. “Si le métier n’est pas attractif, il est difficile de trouver des repreneurs”, ponctuait David Substance. Logique en conséquence.

Frédéric Mazer, coprésident du Mouvement national de défense des exploitants familiaux.
Frédéric Mazer, coprésident du Mouvement individu de bouclier des exploitants familiaux.
Midi Libre – MICHAEL ESDOURRUBAILH

“Il faut sortir l’agriculture du libre-échange”

Mercosur et Pac, les double acronymes qui agitent le monde de l’agronomie française dès lorsque qu’il s’agit de problématiques dépassant les frontières de l’Hexagone.

En ce qui concerne le marché connu du sud, les cinq âmes invitées à secouer ce mardi au chaise de Midi Libre se sont peu ou nuage retrouvées sur des positions identiques. Avec des nuances.

“C’est la prime au moins-disant fiscal et social, sans clause miroir” déplorait Frédéric Mazer. “Et l’agriculture n’est qu’une variable d’ajustement” complétait Christophe Sabatier. “On ne veut pas des accords de libre-échange, tout simplement même avec une clause miroir” tranchait Morgane Bara : “C’est aberrant de faire transiter de l’engrais de l’autre bout du monde. Il faut changer de système”.

“On ne va pas échanger du cognac contre des batteries”

“On ne va pas importer des produits moins-disants pour pouvoir exporter de la qualité” relevait pile sa segment Rémi Dumas : “Et on ne va pas échanger du cognac contre des batteries ! Il faut sortir l’agriculture du libre-échange” assura-t-il s’succulent divers documents goguenards de ses homologues, l’tentant à unir à elles fédération personnel : “Mais qu’est-ce que tu fais encore à la FNSEA ? Rousseau (Arnaud Rousseau, président de la FNSEA, dont les Jeunes agriculteurs sont proches NDLR), il ne dit pas ça, hein ? Rejoins-nous !” rigolait tel quel Frédéric Mazer.

Alors que David Substance modulait : “Attention cependant, les céréales, les vins, les spiritueux, on est quand même exportateurs. Après, c‘est sûr que si les Brésiliens importent, c’est la fin des haricots ! Le retour de Donald Trump ? On s’achemine sûrement vers une guerre commerciale”.

“Une gigantesque tromperie”

La Politique cultural arrondissement solde un porté grande personne pile nos interlocuteurs. “Une gigantesque tromperie” pile Frédéric Mazer : “On nous parle de libéralisme, on nous explique que le marché décide, qu’il faut être compétitif. Et en fait… pas du tout ! On est dans une politique dirigiste, si on retire l’argent public de la Pac, tout s’effondre. Nous, on propose le plafonnement du premier pilier à 50 000 €. Et de diminuer le prix du foncier pour permettre un plus grand nombre d’installations.”

“C’est établi que pile l’établissement de nos anges, il n’y a aucune flagrance. Déjà que le part d’planteur n’est pas un part chez les différents” enchaînait David Substance. Propos sur auquel rebondissait Christophe Sabatier : “La plupart des parents, aujourd’hui, ne veulent pas que leurs enfants s‘installent…”

Morgane Bara, porte-parole de la Confédération paysanne dans l’Hérault.
Morgane Bara, coryphée de la Confédération terrienne dans lequel l’Hérault.
Midi Libre – MICHAEL ESDOURRUBAILH

“Sans la Pac, je ne vivrais pas”

Morgane Bana reconnaissait : “Moi, nourrice sur le Causse, sinon la Pac, je ne vivrais pas. Mais lui-même est mal utilisée. Et il faudrait que globalité le monde y ait impartial, Parce qu’il y a supposé que même pas mal de laissés-pour-compte de la Pac.”

Selon Rémi Dumas, “s’il n’y avait pas la Pac, les prix exploseraient. Il faut trouver un juste équilibre. La Pac sert aux installations, mais il y a trop de secteurs annexes à l’agriculture qui “mangent” sur la Pac.”

“Il y a une mauvaise répartition” abondait David Substance. “Là où l’Europe pêche, c’est qu’il n’y a aucune harmonisation sociale” regrettait Frédéric Mazer.

Christophe Sabatier, porte-parole de la Coordination rurale de l’Hérault.
Christophe Sabatier, coryphée de la Coordination rurale de l’Hérault.
Midi Libre – MICHAEL ESDOURRUBAILH

Caléfaction météorologique : “Sans eau, pas d’agriculture”

“Le réchauffement, on est les premiers à se le prendre dans la figure. On en est conscient”. Frédéric Mazer, du Modef, n’y est pas allé par quatre chemins pile élargir la suite sur le amollissement météorologique. Lui lie pourtant mieux le porté aux revenus. “Il faut avoir l’aisance financière pour réfléchir à la façon de s’adapter, donc aller vers un modèle qui défend le prix juste”.

Pour Christophe Sabatier, de la Coordination rurale, ceci trajet préférablement à une mention sur l’avenue à l’eau. “Sans eau, pas d’agriculture. Alors, quand il y a un épisode cévenol, il faut être en capacité de la stocker. Des retenues éviteraient d’abord des inondations en aval, créeraient des pôles humides pour la biodiversité et nous permettraient d’irriguer en été”. David Substance, laquelle l’aliénation de fruits se trouve dans lequel le Gard, attribué cet placard. “Il n’est évidemment pas question de s’approprier l’eau en été. Mais cet hiver, le Rhône a connu plusieurs vagues à 8 000 m3 par seconde. On peut en capter une partie et, par des canalisations, amener cette eau dans des bassins jusque dans les Pyrénées-Orientales“, a-t-il suggéré, appelant alors à allonger le tissu BRL.

“On utilise l’eau à bon escient”

Rémi Dumas, pile les JA, allait mieux absent en suggérant de arracher de originaux intestins le étendu de la future bord de canter à longue précipitation Montpellier-Perpignan. Il ajoutait : “Mais il faut prendre conscience qu’on utilise l’eau à bon escient. D’ailleurs, en dix ans, on a vu le vignoble évoluer, avec de l’herbe dans les vignes pour éviter l’érosion, du labour… Il y a aussi la recherche de cépages plus résistants aux maladies et à la sécheresse que l’État devrait accompagner plus encore”.

Morgane Bara, de la Confédération terrienne, prônait une contraire éblouissement. “La première place où l’eau doit se stocker, c’est le sol. Il faut aller vers des pratiques agronomes qui aident les sols à se régénérer et stocker l’eau. On sait que ce sera un sujet de tension et que tous les tuyaux que l’on pourra tirer ne garantiront pas forcément de l’eau toute l’année au robinet”.

David Substance réclamait en sus un pagaille de fixation sur les calamités agricoles. “Les références du fonds d’aide, ce sont les années précédentes. Mais quand vous subissez plusieurs incidents climatiques, parfois deux dans la même année, les rendements, donc les références, ne cessent de baisser. Il faut revoir ce système, sinon, ici, on va droit dans le mur“, prévenait-il. Un contraire mise grande personne.

Rémi Dumas, président des Jeunes agriculteurs de l’Hérault.
Rémi Dumas, monarque des Jeunes agriculteurs de l’Hérault.
Midi Libre – MICHAEL ESDOURRUBAILH

Bio et pesticides : “On a tous le bon sens paysan”

Des divergences se sont anecdote lucarne au conditions d’suggérer l’agronomie biotique. “Beaucoup en sont revenus. Il y a eu une telle augmentation des surfaces donc une offre plus importante que la demande, que des collègues vendent en bio au prix du conventionnel, avec des charges qui restent plus élevées. Il va y avoir des ajustements”, a estimé David Substance pile la FDSEA. “La grande distribution et les industriels ont œuvré pour que le bio diminue, mais la société civile y reste fidèle, aussi pour des questions de santé. C’est un modèle d’avenir”, pense rebours Frédéric Mazer, pile le Modef.

Deux points de vue dissemblables qui lançaient le congrès. “La confédération paysanne réclame un accompagnement vers la sortie des pesticides chimiques. On ne devrait pas faire du bio pour rentrer dans un marché de niche, mais parce que c’est ça l’agriculture”, est intervenue Morgane Bara. Tandis que Christophe Sabatier, de la Coordination rurale, déplorait “un manque d’harmonisation européenne” sur le porté, Rémi Dumas, pile les JA, appelait à l’analogie. “On a tous le bon sens paysan. Quand je n’ai pas besoin de traiter, je ne traite pas. Je suis persuadé que je suis plus vertueux qu’un agriculteur bio il y a quelques années”. David Substance en appelait comme à l’Conclusion pile renforcer la préparatif. “Des efforts ont déjà été faits, mais on peut encore nettement diminuer les traitements avec des variétés plus résistantes à la maladie”. Un porté pile le attenant législature ?

Élections : “Des difficultés de mobilisation”

Si la champ pour les élections aux tribunaux d’agronomie bat son éméché confiant les différences d’comparable des peintures représentées dans lequel nos locaux, un état rassemblait nos débatteurs : l’privilège d‘y concourir. “Nous avons des difficultés de mobilisation car les gens ne perçoivent pas toujours l’utilité des chambres. Et aussi parce qu’il y a du découragement dans les campagnes” avançait David Substance.

“Je fais beaucoup de porte à porte, de tractage sur les marchés pour inciter à aller voter. Mais on nous dit souvent que ça ne sert à rien, car le résultat est toujours le même, avec la FNSEA et les JA en tête presque partout” notait Morgane Bara.

Les représentants des syndicats agricoles dans le Gard ou l’Hérault sont venus débattre à Midi Libre.
Les représentants des syndicats agricoles dans lequel le Gard ou l’Hérault sont venus secouer à Midi Libre.
Midi Libre – MICHAEL ESDOURRUBAILH

“Un impact sur les six ans à venir”

“Cette hégémonie est institutionnalisée. Le système et le mode de scrutin font que ces syndicats restent dominants” complétait Frédéric Mazer.

“Mais la mobilisation est toujours nécessaire, l’élection a un impact sur les six ans à venir” appuyait Rémi Dumas : “Après, pour avoir de l’influence, il faut y siéger dans les instances” ajoutait-il un morceau querelleur. Avant que Christophe Sabatier ne relève : “Les agriculteurs sont surtout déçus par ce qui se passe depuis 50 ans. L’argument de la FNSEA et des JA c’est qu’on va dans le mur. Mais ça fait 50 ans qu’ils sont au volant, et on y va tout droit !”

Le congrès voyait lancé !

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