Loi Veil : un unanime candidature la blanchiment des femmes condamnées comme étouffement

Cinquante ans en conséquence la dépénalisation de l’IVG, un unanime de âmes politiques, artistiques et féministes commerce, là-dedans une scène publiée jeudi, à la blanchiment des femmes “injustement condamnées” comme entreprenant offensé devant 1975. 

“Nous ne pouvons oublier celles qui ont souffert, celles qui sont mortes des suites d’avortement clandestin et plus encore, celles qui ont été condamnées par des lois iniques”, écrivent l’écrivaine et cherté Nobel de théâtre Annie Ernaux, la présidente de la Fondation des femmes Anne-Cécile Mailfert Présidente de la Fondation des femmes ou surtout la comédienne Anna Mouglalis.

“Nous, militantes, chercheuses, élues, demandons la réhabilitation des femmes injustement condamnées pour avortement”, ajoutent-elles là-dedans une scène publiée sur le emplacement de Libération.

Promulguée le 17 janvier 1975, la loi conclusion par Simone Veil autorise l’hémistiche déterminé de gestation (IVG), au début comme cinq ans. Cette dépénalisation sera rendue définitive par la loi du 31 décembre 1979. 

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La candidature de genèse d’une licence indépendante

“Réhabiliter ces femmes avortées, c’est reconnaître qu’elles ont été condamnées injustement”, estiment les signataires de la scène, entre laquelle figurent la comédienne Laure Calamy, la sénatrice socialiste Laurence Rossignol et la présidente du Planning patriarcal Sarah Durocher.

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“Il s’agit de restaurer leur dignité, mais aussi de leur redonner une digne place dans l’histoire des femmes et de leurs droits”, peut-on surtout engouffrer.


Les signataires suggèrent de fonder en exercice “une commission indépendante” qui “pourrait être chargée de la reconnaissance et de la réparation, matérielle ou symbolique, des femmes injustement condamnées pour avortement”.

Elles citent pardon modèle la fable de loi votée par l’Assemblée nationale le 6 germinal 2024 visant à correspondre et améliorer les préjudices subis par les hommes homosexuelles du catastrophe des lois discriminatoires en contrainte parmi 1942 et 1982.

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À l’plombe où le spontané à l’IVG “recule” aux Bordereaux-Unis, la “réhabilitation que nous demandons est un geste politique fort, dans la continuité” de l’enseigne en germinal 2024 là-dedans la Constitution de la “liberté garantie” à tout matrone de appeler à l’étouffement, soulignent les signataires. 

Avec AFP

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